Après la suspension de leurs activités pour une durée de trois mois, quelques partis politiques et des organisations de la société civile à l’origine des manifestations du 20 octobre 2022, courent les risquent d’être dissous.
Pour avoir défié l’autorité de l’État et en bravant l’interdiction afin d’appeler leurs militants à manifester.
À cet effet, le ministre de l’Administration du Territoire et de la décentralisation M. Limane Mahamat à informé à l’occasion d’une conférence de presse animée par quelques membres du gouvernement ce vendredi 11 novembre 2022, que des démarches sont encours auprès de la Cour Suprême pour la dissolution de ces partis politiques et les associations de société civile. Pour lui, le gouvernement veut obtenir après la suspension, la dissolution pire et simple de ces formations politiques.
Selon lui, lorsqu’on crée un parti politique on doit avoir un programme social et de respecter la légalisation en vigueur au pays. M. Limane Mahamat renseigne que certains partis politiques ont commencé par c’est détracté et les éléments soumis à son département seront étudiés.
Entretemps, deux formations politiques AlTakhadoum et les Démocrates et le Renouveau ainsi que des leaders de quelques associations de la société civile se désolidarisent et disent ne pas être responsables des événements du 20 octobre. Pour eux, la marche pacifique a été détournée par le parti les Transformateurs qui voulaient arriver au pouvoir en usant tous les moyens.
