23 975 candidats admissibles, toutes séries confondues, composent ce vendredi 21 juillet 2023, sur l’ensemble du territoire national, la deuxième série des épreuves écrites du baccalauréat session 2023.
Contrairement au premier tour, le second tour se déroulera en une seule journée. Selon leurs séries, la plupart des candidats composeront entre deux et trois matières. Ceux des séries techniques composeront jusqu’à quatre matières.
Les candidats de la série A4 français et arabe auront trois matières à composer, les candidats doivent choisir entre le français ou la philosophie et l’arabe pour les arabophones. Tandis que, la mathématique et l’histoire et géographie sont obligatoires.
Pour les candidats de la série AB, ils vont se pencher sur quatre épreuves, notamment, l’arabe ou le français, mathématique, histoire et géographie ainsi que la traduction.
Par contre, ceux des séries, C et D français et arabe, ils seront soumis aux matières suivantes, mathématiques, histoire et géographie, la science, physique-chimie pour les candidats de la série C et la science de vie et de la terre (SVT) pour les candidats de la série D.
Les candidats de série E auront trois matières, mathématiques, technologies et le français. De leur côté, les candidats de la série technique G1, arabe et français, ils passeront quatre matières, (Administration, Économie où entreprise, français, arabe et droit commercial), pour ceux de la G2 français et arabe, 4 épreuves sont au programme (mathématique, Économie ou entreprise, comptabilité et droit commercial).
En ce qui concerne, les candidats de la série G3, ils passeront la mathématique, entreprise ou économie, technique commerciale et droit commercial.
La présidente du jury, docteur Gotoum Nadjinangar rassure que tout est fin prêt pour que la deuxième série des épreuves écrites démarre dans les différents centres de composition sur l’ensemble du pays. Elle demande aux candidats de respecter les consignes, celui de n’est pas se présenter avec les téléphones portables dans les salles et objets qui pourraient leurs portés préjudices. Docteur Gotoum Nadjinangar conseille les candidats de garder leur sang froid, car, c’est des sujets qu’ils ont déjà vus en classe.