mercredi, janvier 22, 2025
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« A N’Djaména, nous sommes dans une prison à ciel ouvert depuis un certain temps » J.B. Manga

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Pendant une journée entière, pas d’appel, pas de SMS, pas d’Internet, pas de réseaux sociaux, pas d’électricité dans certains quartiers, et par la suite, pas de SMS, pas de Internet, pas de réseaux sociaux jusqu’à hier. Aujourd’hui, pas de SMS, pas de Internet, pas réseaux sociaux pour les téléphonies… C’est dire qu’il faut que tout ce qui n’est pas normal doit se passer en dehors des regards des autres citoyens.

Imaginez un seul instant, si les réseaux sociaux n’existaient pas sous ce régime, toutes les fois qu’il était possible, nous allons être tué en silence, hors des regards. Merci aux réseaux sociaux qui mettent encore la lumière sur tout et nous ont évité le pis jusque-là, dans ce pays.

Une chose est claire: rien ne justifie une telle violence sur des êtres humains et de surcroit des citoyens tchadiens en pleine capitale. Ce qui s’est passé est inadmissible quelles que soient les raisons. L’Etat et les forces de l’ordre sont là pour nous protéger et non nous tuer. La force qui appuie la Justice est la Police Judiciaire et une infraction qualifiée de délit, et dont la comparution est en citation directe (pas de prison) comme l’a reconnu le Procureur de la République, ne peut nécessiter une telle intervention disproportionnée des forces de l’ordre avec tous les dégâts qui s’en ont suivis. Des chars de combat et des blindés pour arrêter un citoyen qui aurait commis un délit est incroyable. Ces actes barbares, à tous les niveaux, d’où qu’ils viennent doivent être condamnés avec la dernière énergie. Une enquête internationale et impartiale doit être menée pour que les responsabilités soient situées.

Nous sommes désormais conscients que nous vivons dans ce pays comme des morts en sursis!

Jean Bosco Manga

Affaire Yaya Dillo : le procureur de la République ouvert une enquête

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Le procureur de la République près du tribunal de grande Instance de N’Djaména, M. Youssouf Tom dans un point de presse présenté ce lundi 1er octobre 2021 à son cabinet qu’une enquête judiciaire est ouverte pour meurtre, coups et blessures volontaires, complicité de meurtre et de coups et blessures volontaires contre tous les auteurs, coauteurs et complices de ces infractions survenu ce dimanche 28 février 2021 au domicile de M. Yaya Dillo Djerou Betchi.


Selon lui, l’événement malheureux et douloureux sont survenues lors de l’exécution de mandat d’amener contre Yaya Dillo Djerou Betchi alors que ce dernier, faisant l’objet d’une procédure correctionnelle orientée en citation directe, n’avait pas accepté de comparaître.


Devant cet état de fait, la juridiction en charge du dossier a décerné un mandat d’amener contre lui par jugement avant de dire droit en date du 8 octobre 2020 a précisé, le procureur de la République
« Le mandat n’étant jamais exécuté, puisque se trouvant dans une zone difficile d’accès, il a fallu attendre son retour à N’Djaména où le samedi 27 février 2021, les éléments de la sécurité sont allés exécuter le mandat.

N’ayant pas atteint leur objectif, le dimanche 28 février 2021, les officiers de la police judiciaire chargé d’exécuter les mandats ont renforcé leur sécurité pour se rendre au domicile de Yaya dillo. Celui-ci a opposé une résistance et il y a eu des échanges de tirs qui ont causé quelques morts, des blessés et des dégâts matériels selon le constat de la police judiciaire » a rapporté, Youssouf Tom. Il poursuit que cela est déplorable pour toutes ces victimes collatérales qu’aux dernières nouvelles, Yaya Dillo a quitté son domicile avec l’aide de quelques acolytes et sa position demeure inconnue.

Élections 2021 : 3 partis politiques retirent leur soutien à la candidature de Yaya Dillo

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Trois partis politiques signataires du Front Nouveau pour le Changement (FNC) du 18 février dernier pour le soutien de la candidature de M. Yaya Dillo Djerou pour les élections du 11 avril prochaine annonce leur retrait du FNC.


Il s’agit de l’Union pour la République Démocratique au Tchad(URDT), d’Éric Kamoungue, de l’Union Nationale des Patriotes Tchadiens (UNPT-DARNA) de M.Nguertya Abel Soumbakoua et le Parti Démocratique Pour l’Afrique Moderne (PDAM) de M. Laoure Laoumeur Gondeye.

Les trois partis dit avoir constatés la complexité de la situation qui entoure cette candidature. C’est pourquoi ils décident de quitter définitivement cette plateforme.

Affaire Yaya Dillo : Amine Abba Sidick retrace les évènements du 28 février 2021

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Le ministre des Affaires Estrangères, de l’Intégration Africaine et des Tchadiens de l’Étranger, M. Amine Abba Sidick a retracé les évènements qui s’est déroulée le 28 février dernier à N’Djaména dans la capitale Tchadienne lors d’une déclaration faite ce lundi 1er Mars 2021 à l’endroit des chefs de missions diplômatiques et représentants des organisations internationales.

D’après le chef de la diplomatie tchadienne, depuis quelques jours, les autorités judiciaires sont confrontées à une rébellion de M. Yaya Dillo, qui a refusé dit-il d’obéïr aux injonctions de la police venue lui présenter, le 27 février au matin, un mandat d’amener.

« Yaya Dillo a fait l’objet d’un mandat d’amener pour avoir refusé de répondre à une convocation de la police judiciaire suite à deux plaintes déposées contre lui refus de restituer trois véhicules de service après avoir quitté ses fonctions de représentant de la CEMAC, et diffamation et insulte à l’égard de l’épouse du Chef de l’Etat. Pour se soustraire à la justice, il s’est alors réfugié dans sa région natale à la frontière tchado-soudanaise, une zone instable et théâtre de nombreux trafics et de passages d’éléments rebelles difficilement contrôlables » a informé M. Amine Abba Sidick

Le ministre des Affaires Estrangères, de l’Intégration Africaine et des Tchadiens de l’Étranger a déclare que Yaya Dillo est revenu récemment et clandestinement à N’Djaména déposer sa candidature à l’élection présidentielle, pensant probablement ainsi obtenir une protection de fait lui permettant de se soustraire aux poursuites judiciaires dont il fait est l’objet.
« C’est ainsi que le 27 février au matin, un mandat d’amener lui a été présenté par la Police, qui a localisé son refuge. M. Yaya Dillo, entouré de cinq (05) hommes armés de fusils de guerre, s’est montré hostile et menaçant. Il a alors refusé de déposer les armes et de se laisser interpeler. Face à cette résistance, les officiers de la Police Judiciaire ont jugé utile d’interrompre leur mission et de quitter les lieux afin de rendre compte à leur hiérarchie », décrit, M. Amine Abba Sidick.


De poursuivre que le 28 février au matin, avec des moyens conséquents les forces de l’ordre se sont à nouveau présentées au lieu de résidence de M. Yaya Dillo afin de faire cesser cette rébellion armée et de le soumettre à la loi. Et, avait répandu sur les réseaux sociaux des appels au soulèvement, à la mutinerie au sein des armées pensant pouvoir provoquer un mouvement populaire en sa faveur, bénéficier du soutien de certains membres de sa famille, créer une situation insurrectionnelle et déstabiliser l’Etat.


Selon le ministre des Affaires Etrangère à l’arrivée des forces de l’ordre le 28 février Yaya Dillo a directement ouvert le feu, blessant trois agents des forces de l’ordre, tout en se protégeant derrière le rempart des membres civils de sa famille. « Un tir de l’intérieur visant les forces de l’ordre a mortellement atteint la mère de Yaya Dillo. Une enquête établira les faits », rapporte, Amine Abba Sidick.


Faisant cesser les tirs, les forces de l’ordre se sont retirées. Tous les blessés ont été évacués à l’hôpital. Afin de permettre une reddition sans violence, une médiation a été initiée pendant plusieurs heures avec M. Yaya Dillo qui a finalement refusé de se rendre.
Dans l’après-midi du 28 février, la médiation ayant échoué, les forces de l’ordre ont alors tenté de progresser derrière des blindés légers en usant de gaz lacrymogène. Un des blindés s’étant arrêté dans la cour de la maison, a été pris d’assaut et deux membres de son équipage ont été tués.

« Dans la confusion qui s’en est suivie, les policiers ont laissé partir plusieurs civils qui fuyaient afin de ne pas faire d’autres victimes collatérales. M. Yaya Dillo s’est alors probablement échappé profitant de se cacher parmi eux. A l’heure, actuelle il n’est plus localisé et a déclaré sur les réseaux sociaux qui s’est caché ailleurs », a souligné le ministre des Affaires étrangères
En réalité, dit, Amine Abba Sidick l’objectif de Yaya Dillo n’est pas de se présenter à l’élection présidentielle mais d’empêcher plutôt sa tenue.
« Dans une telle situation, le gouvernement tchadien ne peut évidemment pas laisser perdurer cette situation insurrectionnelle menée par un récidiviste qui refuse d’obéir aux lois en vigueur, défie les forces de l’ordre et cherche, vis-à-vis de la communauté et la presse nationale et internationale à légitimer sa situation en se présentant faussement comme une victime et à provoquer des troubles graves », a regretté, le patron de la diplomatie tchadienne.


Amine Abba Sidick tient à préciser que pour le gouvernement du Tchad cette affaire relève purement du cadre judiciaire. Par la même occasion, il déplore son instrumentalisation par certains acteurs politiques et ceux de la société civile.

Elections 2021 : Saleh Kebzabo se retire du processus électoral

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Suite à la situation politico-militaire créée par l’attaque militaire du domicile de M. Yaya Dillo Djerou Bectchi, candidat à l’élection présidentielle du 11 avril 2021.

Le président national de l’Union Nationale pour la Démocratie et le Renouveau (UNDR), M. Saleh Kebzabo a décidé ce dimanche 28 février 2021, lors d’une déclaration son retrait du processus électoral « pour ne pas avoir à cautionner à la mascarade qui se prépare sur une échelle ». Saleh Kebzabo a déploré aussi qu’il n’a pas obtenu aucune réponse aux exigences contenues dans le mémorandum du 25 février 2021 pour des élections libres.


Pour Saleh Kebzabo, l’incursion des forces du 3ème degré au domicile de Yaya Dillo a fait des victimes et impacte négativement sur le processus électoral en cours, donne une idée sur le climat d’insécurité qui entachera certainement la campagne électorale pour les candidats qui affronte celui du Mouvement Patriotique du Salut (MPS) parti au pouvoir.


L’UNDR condamne par ailleurs l’acte odieux qui a fait couler du sang des tchadiens et pourrait, selon lui, avoir des conséquences dramatiques pour la paix que le Tchad n’arrive pas à consolider. « Voilà plus de 30 ans qu’Idriss Déby Itno est au pouvoir », a ajouté, M. Saleh Kebzabo.


Le président national de l’Union Nationale pour la Démocratie et le Renouveau déclare que, malgré la bonne foi et la bonne volonté de son parti, il apparait difficile que le processus électoral en cours biaisé pour le pouvoir, puisse se dérouler dans la sérénité, vu la militarisation évidente du climat politique. « Ce qui constitue une hypothèque très grave pour l’élection présidentielle dont l’ambiance sera horrible pour les candidats qui vont affronter Idriss Déby Itno », poursuit, M. Saleh Kebzabo.

Nigeria : énième libération d’otages

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Les autorités locales ont annoncé, ce samedi 27 février, la libération de 42 personnes enlevées il y a plus d’une semaine dans un établissement scolaire.
L’histoire bégaie au Nigeria. Dans cette puissance de l’Afrique de l’Ouest, des groupes armés font souvent irruption dans des écoles pour kidnapper élèves et enseignants.

En 2014, l’enlèvement par la secte islamiste Boko Haram de plus de 200 filles dans un lycée de Chibok (nord) avait ému le monde entier. A travers le slogan « Bring back our girls » (Ramenez nos filles, en anglais), la planète s’était mobilisée pour leur libération.

Le phénomène s’intensifie depuis lors. Dans la nuit du 16 au 17 février, 27 élèves, 3 professeurs et 12 membres du personnel du pensionnat public d’enseignement secondaire de Kagara (centre-ouest) en ont fait les frais.

Si les otages de Kagara ont pu recouvrer la liberté, d’autres attendent d’être secourus. En effet, 317 jeunes filles de l’État de Zamfara (nord) ont disparu le 26 février. Selon la presse locale, une opération de sauvetage est en cours.

Critiqué pour sa gestion de la situation sécuritaire dans le nord, Muhammadu Buhari n’entend pas céder face aux « bandits ». Mais le président nigérian s’est-il donné les moyens d’endiguer ce phénomène ? Rien n’est moins sûr.

Pour les bandes armées qui sévissent dans cette partie du pays, les rapts sont un moyen rapide d’avoir de l’argent. Certains d’entre eux seraient même devenus les pourvoyeurs d’otages à des groupes jihadistes présents dans le nord-est.

Apanews

Education : 2237 candidats composent la 7ème édition du BTS national

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Le ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation docteur David Houdeingar Ngarimaden a procédé officiellement ce samedi 27 février 2021 à N’Djaména au lancement de la 7ème édition des épreuves écrites de l’examen de certification du Brevet des Techniciens du Supérieur (BTS) national au lycée Féminin Bilingue d’Amriguébé dans la commune du 5ème arrondissement.

Au total 2 237 candidats composent l’examen de certification du Brevet de Techniciens Supérieurs (BTS) National dans 22 filières différentes.

Le chef de département de l’enseignement supérieur se félicite de l’augmentation sensible de nombre de candidats par rapport aux années précédentes.

Docteur David Houdeingar Ngarimaden explique cet examen c’est en quelque sorte une formalité qui permet de standardiser et de crédibiliser les BTS avant d’ajouter que « C’est un exercice que nous faisons chaque année pour permettre à ce que nous puissions renter dans les normes requises en termes de diplômes qui sont délibérés par nos établissements d’enseignements supérieurs aussi bien publics que privés. Donc c’est ça le sens de cet examen qui a été initié, il y a de cela depuis quelques années ».

Le ministre de l’Enseignement Supérieur docteur David Houdeingar Ngarimaden précise que pour cette édition la spécificité de cet examen, est que cette année, une voie est ouverte aussi aux candidats libres afin de valoriser leur diplôme qui est délibéré par ces établissements d’enseignement supérieur.

MSK. Lawandji

#Tchad : ATIC renforce les capacités de 12 femmes cadres

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L’Association Tchadienne des Investisseurs en Capital(ATIC) à travers son projet Chad Women on Board a renforcé les capacités de douze (12) femmes cadres venues du secteur public et privé.

C’est au cours d’une formation, pour permettre d’accéder aux mandats ou progresser dans leur posture de gouvernance et de dirigeante (conseil d’administration, comité de direction, comité exécutif et direction d’entreprise).


Durant 5 jours, plusieurs modules ont été abordés par les formateurs à l’endroit des apprenantes. Il s’agit entre autres la pratique du fonctionnement du conseil d’administration, de leurs missions, leurs rôles et leurs responsabilités des administrateurs, savoir comment interpréter et analyser les données financières, de la gouvernance de l’entreprise et de son stratégie ainsi que le leadership et simulation de conseil d’administration, dynamique du conseil et collégialité.


L’objectif visé est d’outiller les femmes siégeant dans les organes de la gouvernance des entreprises et celles y souhaitant bénéficier d’un enseignement de haute qualité, de rencontrer d’autres femmes, de partager les expériences, de développer et d’optimiser un réseau professionnel.


Les participantes disent satisfaites de la qualité de l’intervention des formateurs et de la formation qui les ont permis de beaucoup d’apprendre, promettent d’être des ambassadeurs de l’ATIC auprès de leurs institutions respectives.


Clôturant cette session de formation, le président de l’Association Tchadienne des Investisseurs en Capital (ATIC), M. Mohammed Kader Nguili se félicite de la réussite de cette première promotion dénommée « Hinda Déby Itno ». « Désormais, ces femmes peuvent suivre un portefeuille des investissements locaux. L’option est de murir cette promotion puis faire un groupe signifiant où l’une d’entre elles arrive à décrocher un mandat de 6 mois sera un succès pour nous », se projette-il.
Dorénavant, le mandat revient aux participantes de parrainer les prochaines candidates de la deuxième promotion.

#Tchad : l’IGE se dote d’un site web

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L’Inspectrice Générale d’Etat adjointe, Me Amalkher Djibrine Souleymane a annoncé lors d’un point de presse ce vendredi 26 février 2021 au cours duquel des innovations introduites au sein de l’IGE.

Il s’agit du lancement d’un site web : www.ige-tchad.org et de la mise en place d’une boite à suggestion physique pour le public, dans les prochains jours d’une ligne verte.


Amalkher Djibrine Souleymane à rappeler que l’IGE a été créée par décret N°260/PR/2015 du 1er octobre 2015 a pour mission de veiller à la bonne gouvernance dans le pays, de lutter contre la corruption et les détournements des deniers publics.
« L’Inspection Générale d’Etat est investie d’une mission permanente de contrôle, d’investigation, d’étude visant à faire assurer le respect de la réglementation et de la légalité, de l’éthique administrative et déontologique, de la gestion saine et transparente des finances publiques, et de veiller à la bonne performance : des Administrations Publiques, des Collectivités Territoriales, des Entreprises du secteur public et parapublic, des Projets Financés sur ressources extérieures et sur le budget de l’Etat, de toute entreprise ou organisation bénéficiant d’un financement public, et surtout de toute entreprise privée d’utilité publique et /ou d’intérêt stratégique pour le pays », a-t-elle précisé.


L’Inspectrice générale adjointe d’Etat a expliqué que le contenu du site web est subdivisé en deux principales parties :
La première permet au public de s’informer sur l’IGE, de son historique, de ses missions et de ses attributions, les actualités relatives à ses activités ainsi que de consulter les documentations.


La deuxième par contre, est dédiée exclusivement à la boite à suggestion digitale qui permet au public de laisser directement des messages en toute sécurité à l’Inspection dont l’adresse se trouve sur le site. Les messages peuvent être des suggestions ou des dénonciations des cas de corruption et des malversations financières, rapporte l’inspectrice générale adjointe d’Etat.


Selon elle la seconde innovation envisagée par l’IGE, qui est en cours de réalisation, est la mise sur pied d’une ligne verte et d’une boite à suggestion physique. Pour elle, ces instruments viennent compléter les outils numériques. Ils permettront également aux citoyens et aux institutions de faire de suggestion ou de dénoncer de manière anonyme des cas présumés de corruption ou de malversation financière, preuve à l’appui.
« L’objectif est de permettre à la population d’interagir avec l’Inspection Générale d’Etat et de mieux comprendre les enjeux et la portée de ses missions au profit de notre pays », a conclu L’Inspectrice Générale adjointe d’Etat Amalkher Djibrine Souleymane.

Province : AJEG remet un don au centre de santé nord de Bitkine

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Dans le cadre de ses activités associatives, l’Association des Jeunes du Guéra (AJEG) intensifie sa campagne de sensibilisation sur la scolarisation des filles et le respect des mesures barrières éditées par les autorités du pays afin de lutter contre la propagation du COVID-19 au Tchad.


Ce vendredi, 26 février 2021, l’AJEG a remis un don composé des lots de cache-nez, gel hydro alcoolique et savons au centre de santé Nord de Bitkine, chef-lieu du département d’Abtouyour.