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Elections 2021 : Pour la période électorale, les média s’engagent dans une charte

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Les responsables des médias publics et privés ont signé respectivement ce jeudi 25 février 2021 à N’Djaména, la charte des médias du Tchad en période électorale. C’était en présence du président de la Haute Autorité des Média et de l’Audiovisuels(HAMA), Dieudonné Djonabaye ainsi que les patrons des organes de presse du Tchad.

La HAMA invite les directeurs des médias qui n’ont pas signé cette charte, de passer à son siège au plus tard le vendredi 26 février 2021 pour la signature.


Cette charte, est un document de 5 pages, subdivisé en 27 articles et 12 titres. Elle impose entre autre aux médias signataires, de la responsabilité sociale des médias, du rectificatif, du droit de réponse et du droit de réplique, du respect de la vie privée, de la dignité humaine, de la provocation, l’injure, la diffamation et le plagiat. De l’exactitude et de l’équilibre, de l’incitation à la haine et à la violence, du sensationnel, de la confraternité, du devoir de compétence et d’honneur professionnels, de l’indépendance et la neutralité, du traitement équilbre de l’information pendant la campagne électorale. Et, du dénigrement ou l’apologie des partis est du respect de la Charte.

A cet effet, l’objectif de la présente charte de bonne conduite des médias c’est pour contribuer à la tenue d’élections libres, crédibles, apaisées et démocratiques.

En outre, elle encadre aussi les activités de médias pendant la campagne électorale et se veut un engagement moral et civique de chaque organe de presse signataire de la charte afin de couvrir les activités de la campagne dans le respect des normes, de l’éthique et de la déontologie du métier.

Toutefois, les responsables des organes de presse ont dénoncé la non-implication des journalistes pendant son élaboration.

Pour sa part, le président de la Haute Autorité des Média et de l’Audiovisuels(HAMA), Dieudonné Djonabaye précise que la présente décision a pour objet de définir et déterminer les principes d’équité, du respect du pluralisme et du traitement équilibré de l’information par les médias publics et privés pendant la campagne électorale. De poursuivre que, les médias jouissent de la liberté éditoriale dans la couverture de la campagne et ils assument l’entière responsabilité des programmes qu’ils diffusent ou publient pendant cette période conformément aux textes en vigueurs. « La liberté d’expression et d’opinion et le droit de l’information s’exercent dans le respect des valeurs culturelles nationales de l’ordre public et de la vie privée de citoyens. Le droit à l’information est un droit reconnu par la constitution du Tchad », a rappelé, le président de la HAMA.

Covid-19 : L’Afrique du Sud va vendre ses doses d’AstraZeneca à l’UA (ministre)

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L’Afrique du Sud a décidé de vendre et non de partager comme annoncé précédemment son million de doses de vaccin AstraZeneca contre le coronavirus achetées il y a trois semaines à l’Inde à l’Union africaine.
Après avoir abandonné le vaccin d’AstraZeneca, l’Afrique du Sud s’est tournée vers le vaccin Johnson & Johnson pour immuniser sa population, à commencer par ses agents de santé la semaine dernière.

Selon le ministre de la Santé Zweli Mkhize, l’efficacité de 85% du vaccin Johnson & Johnson contre la variante mutante était la mieux adaptée à l’Afrique du Sud dans ses efforts pour contenir le virus qui a tué à ce jour plus de 49.000 personnes depuis son entrée dans le pays en mars 2020.

Mkhize a souligné que le vaccin AstraZeneca avait une efficacité limitée contre les maladies légères et modérées causées par la variante Covid-19 dominante dans ce pays.

« En ce qui concerne la vente du stock d’AstraZeneca à l’UA, je peux confirmer que nous vendons les doses – et non pas en faire don. Par conséquent, il n’y a pas de dépenses inutiles ou inutiles ici », a déclaré Mkhize au Parlement qui voulait en savoir davantage sur ce sujet. « C’est une situation gagnant-gagnant », a-t-il ajouté.

Selon lui, l’Afrique du Sud préférerait que le vaccin Johnson & Johnson fût distribué à d’autres pays de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC).

« Nous avons en outre proposé que Johnson & Johnson soit déployé préférentiellement dans les régions du sud de l’Afrique, afin que nous puissions rapidement traiter la variante qui prédomine en Afrique du Sud et dans certaines parties de la SADC » a indiqué le ministre.

Avant d’ajouter: « cela dit, nous nous joignons à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et à la communauté scientifique pour soutenir le déploiement d’AstraZeneca, même dans les régions touchées par des variantes », a déclaré le ministre.

Pretoria a surpris le monde en annonçant qu’elle ne vaccinerait pas ses agents de santé avec le vaccin AstraZeneca inspiré d’Oxford, une semaine seulement après son arrivée en provenance de l’Inde sous les acclamations du président Cyril Ramaphosa, de Mkhize et des ministres du Cabinet venus diriger la cérémonie d’accueil organisée pour le vaccin à l’Aéroport international OR Tambo le 1er février.

Apanews

Tchad-BAD: Signature d’un protocole d’accord en faveur des filles et des femmes

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Promouvoir l’égalité et l’équité dans l’accès à une éducation de qualité pour les filles et à une alphabétisation fonctionnelle pour les femmes (PEPAF) en vue de renforcer le capital humain du Tchad, tel est l’objectif de la signature de ce mercredi 24 février 2021, entre le Ministre de l’Economie, de la Planification du Développement et de la Coopération Internationale (MEPDCI), Dr Issa Doubrange et le Représentant Résident de la Banque Africaine de Développement (BAD) au Tchad, M. Ali Lamine Zeine.

Après la signature du protocole d’accord entre les deux parties, le Représentant Résident de la Banque Africaine de Développement (BAD) au Tchad, M. Ali Lamine Zeine souligne dans son liminaire que le projet sera financé sur les ressources de la Facilité d’Appui à la Transition (FAT) de la Banque et sera mis en œuvre par le ministère tchadien de l’éducation nationale et de la promotion civique, en coordination avec les partenaires actifs dans le secteur de l’éducation, les organisations de la société civile et les jeunes.

Il poursuit dans la même lancée en affirmant que le PEPAF vise à poursuivre la rénovation du complexe scolaire du lycée d’Am-Riguébé à N’Djaména, à construire un nouveau lycée des filles à Massakory dans la province du Hadjer Lamis et à les équiper en mobiliers et équipements pédagogiques, scientifiques et numériques.

Docteur Issa Doubrange, Ministre de l’Economie, de la Planification du Développement et de la Coopération Internationale (MEPDCI), déclare-lui aussi que la scolarisation des filles et l’alphabétisation des femmes devraient contribuer au développement grâce à son effet à court, moyen et long terme sur l’autonomisation de la femme. Elle devrait avoir également des effets positifs directs sur la lutte contre les phénomènes qui constituent des contraintes à l’amélioration des conditions de vie des populations tchadiennes tels que le mariage précoce, la faible scolarisation des enfants, les violences basées sur les genres, le faible accès à la santé et à l’hygiène, la pauvreté, et bien d’autres ».

Le Ministre de l’éducation nationale et de la promotion civique, Monsieur Aboubakar Assidick Tchoroma rassure que le projet démarre le plutôt que possible afin que les femmes puissent s’autonomiser et être efficace.

Le coût global du projet est de 6 230 000 000 milliards de Francs CFA.

Le projet s’articule autour de trois (3) composantes à savoir l’amélioration de l’offre et de l’environnement scolaire pour la scolarisation des filles, le renforcement de la qualité de l’éducation des filles, et du développement de l’alphabétisation fonctionnelle, et enfin, la diversification des filières au Lycée Technique Commercial en lien avec le secteur privé ainsi que l’intégration des travaux pratiques.

M.E.P.D.C.I

ABN : Le Tchad sollicite la reconduction d’Abdérahim Birémé au poste de Secrétaire exécutif

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Le Tchad sollicite la reconduction de M. Abdérahim Birémé Hamid au poste de Secrétaire Exécutif de l’Autorité du Bassin du Niger (ABN). Une délégation conduite par le Secrétaire Général Adjoint de la Présidence de la République, M. Ahmad Oumar Ahmad était à Abuja (Nigeria) remettre un message du Maréchal du Tchad Idriss Déby Itno à son frère et ami, Muhammadu Buhari.

La politique de placement des cadres tchadiens dans les institutions internationales, continentales, régionales et sous-régionale, est un vœu cher au Maréchal du Tchad Idriss Déby Itno, Président de la République, Chef de l’État.

Membre à part entière de l’Autorité du Bassin du  Niger, créée le 26 novembre 1964, le Tchad s’est toujours impliqué pour le rayonnement de cette institution sous régionale et à jour de ses obligations. Ainsi le Maréchal du Tchad sollicite-t-il à nouveau, auprès des pays membres de l’ABN, la reconduction de notre compatriote Abdérahim Birémé Hamid au poste de Secrétaire Exécutif.

Le Nigéria a constitué la première étape de cette sollicitation de soutien à la candidature tchadienne. Une délégation ayant à sa tête le Secrétaire général adjoint de la Présidence de la République Ahmad Oumar Ahmad et comprenant notamment la ministre de l’Hydraulique Urbaine et Rurale, Mme Tahani Mahamat Hassane et le Directeur de Cabinet Civil Adjoint, Abdelkerim Idriss Déby, a fait le déplacement du Nigéria pour remettre un pli confidentiel du Maréchal du Tchad Idriss Déby Itno, Président de la République, Chef de l’État, à son frère et ami Muhammadu Buhari.

Les Etats membres de l’autorité du Bassin du Niger sont: Burkina, Bénin, Cameroun, Côte d’Ivoire, Guinée, Mali, le Niger, Nigeria et Tchad. La délégation tchadienne a fait d’une pierre deux coups de son séjour nigérian. Après avoir remis, le pli confidentiel à son illustre destinataire, elle est allée visiter le chantier de construction de la chancellerie du Tchad à Abuja, dont les travaux sont aux arrêts depuis 2009, selon l’ambassadeur du Tchad au Nigéria, M. Abakar Saleh Chaïmi.

Dg:Com

Covid-19 : le Sénégal lance sa campagne de vaccination

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Le top départ a été donné, ce mardi 23 février, au siège du ministère de la Santé et de l’Action sociale à Dakar.


10h12. Abdoulaye Diouf Sarr, le ministre de la Santé et de l’Action sociale, reçoit la première dose devant l’objectif de nombreux cameramen et photographes. « Ce jour historique doit être inscrit en lettres d’or dans notre Histoire. Le Sénégal fait partie des sept pays, parmi les 54 que compte le continent africain, à avoir démarré la vaccination contre la Covid-19 », s’est félicité M. Sarr.

Ce dernier a souligné que le Sénégal, « comme beaucoup de pays, (pouvait) attendre l’initiative Covax pour recevoir (sa) quote-part et démarrer la vaccination ». Mais, a-t-il poursuivi, le président Macky Sall a voulu que le processus commence maintenant « dans le cadre d’une initiative propre (et) avec les ressources nationales ».

ce jour, le Sénégal a acquis « 200.000 doses du vaccin Sinopharm » produit par un laboratoire chinois et dont le taux d’efficacité est proche de 80 %. Les cibles prioritaires retenues par le gouvernement sénégalais sont les personnels de santé de première ligne, les personnes vivant avec des comorbidités et celles ayant plus de 60 ans.

A en croire Abdoulaye Diouf Sarr, la campagne de masse est pour bientôt : « Le chef de l’Etat est en train de finaliser notre relation commerciale avec la Russie pour que nous disposions prochainement du vaccin Spoutnik V. Dans le courant du mois de mars, le Sénégal recevra aussi son premier lot de l’Initiative Covax ».

Au Sénégal, le premier cas de Covid-19 a été détecté le 2 mars 2020. Près d’un an plus tard, le virus s’est propagé sur toute l’étendue du territoire national avec un cumul de 33.342 cas et 832 décès. Dans le cadre du déploiement du précieux liquide, le président de la République accorde une importance particulière à deux principes : l’équité et la transparence.

« Le premier principe nous a permis d’amener le vaccin dans les 14 régions du Sénégal. Pour le second, il faut absolument respecter les cibles prioritaires », a indiqué Abdoulaye Diouf Sarr.

pourquoi « une Commission nationale de suivi et de contrôle de la vaccination a été mise en place au ministère de la Santé. Au niveau territorial, les gouverneurs prendront toutes les dispositions (nécessaires) », a affirmé le ministre de la Santé et de l’Action sociale.

Le Sénégal, frontalier de la Guinée Bissau et de la Gambie, prévoit d’offrir à ces deux pays 10 % de son lot de doses livrées par Sinopharm. En valeur absolue, ce sont 20.000 doses. « Nous sommes dans un environnement où nos pays sont interdépendants (car) liés par la Géographie et l’Histoire », a justifié M. Sarr.

Ces derniers mois, la courbe des contaminations a obligé le gouvernement à instaurer un couvre-feu à Dakar et Thiès (ouest). En outre, le variant anglais est présent au Sénégal. Suffisant pour que l’ex-ministre du Tourisme et des Transports aériens soutienne que « la vaccination est une chose mais le respect des gestes barrières est fondamental. Il faut absolument porter un masque, se laver régulièrement les mains, respecter la distanciation physique et éviter les regroupements ».

En définitive, Abdoulaye Diouf Sarr est sûr que « le respect des mesures barrières combiné à une politique de vaccination volontariste va nous permettre d’interrompre la chaîne de transmission ».

Pour donner l’exemple, Aïssata Tall Sall, ministre des Affaires étrangères, Mamadou Talla, ministre de l’Education nationale, Ndèye Saly Diop Dieng, ministre de la Femme, de la Famille, du Genre et de la Protection des Enfants, Pr Moussa Seydi, chef du service des maladies infectieuses du Centre Hospitalier et Universitaire de Fann (Dakar), El Hadj Oumar Diène, Secrétaire général des imams et oulémas du Sénégal, Abbé Gérard Diène, vicaire général de l’Archevêque de Dakar et Mansour Mbaye, président des communicateurs traditionnels se sont notamment fait vacciner.

Apa

Élevage: Vers la Co-gestion Tchado-Emirati de l’Abattoir de Farcha

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Le Ministre de L’Elevage et des Productions Animales Ahmat Mahamat Bachir a dirigé une réunion statutaire ce mardi 23 Février 2021 avec les investisseurs Émiratis du groupe Ben Butti qui ont signé le contrat avec l’Etat depuis 2018.

Une rencontre qui consiste à créer la nouvelle société en lieu et place de l’abattoir de Farcha.
La dénomination de la société, le membres de son Conseil d’Administration et le Président du Conseil d’Administration sont les points inscrits à l’ordre du jour.


Après les échanges les deux parties s’accordent pour que la nouvelle société soit appellée » Abattoirs Moderne Tchado-Emirati de Farcha ».

Une société qui serait dirigée par un Conseil d’Administration composé de 7 représentants de Bin Butti et 3 cadres de l’État dont le DG du Ministère de L’Elevage, du Commerce et un Représentant de la CONFIFET.

Ces dix personnes membres du Conseil d’Administration vont travailler d’arrache-pied pour concrétiser les vœux des Plus Hautes Autorités du pays exprimés dans le contrat de Co-gestion a indiqué le Ministre Ahmat Mahamat Bachir.

MEPA

Elections 2021 : « Alternance 21 » investi Félix Nialbé à la présidentielle d’avril

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Le député Romdoumgar Félix Nialbé, par ailleurs, chef de file de l’opposition tchadienne a été investi ce mardi, 23 février 2021, à la Maison des Médias du Tchad (MMT)candidat pour les élections présidentielles d’avril 2021. Il est soutenu par plus de dix partis politiques de l’opposition sous la plateforme dénommée « Alternance21 ».

Le porte-parole de « l’Alternance 21 », Docteur Baba Ahmat Baba tout en rappelant la création de leur regroupement qui, d’après lui, a pour but d’investir un candidat consensuel à l’élection présidentielle d’avril 2021.

Selon lui, après concertation, les dix partis politique estiment que le député Romdoumgar Félix Nialbé était le candidat idéal pour représenter « Alternance 21 » aux élections présidentielles d’avril 2021.

Pour sa part, le candidat investi à l’élection présidentielle d’avril 2021, n’a pas manqué de brosser les maux qui minent le bon fonctionnement de l’administration tchadienne, qui selon lui, couronné par la mauvaise gouvernance, le clientélisme, la gabegie, en bref de l’injustice sociale.

«Les tchadiens attendent un changement, une alternance etc. », a affirmé le chef de file de l’opposition tchadienne. M. Romdoumgar Félix Nialbé invite les tchadiens à sortir massivement pour opérer leur choix au moment venu pour marquer alternance démocratique au Tchad.

MSK. Lawandji

Niger : Mohamed Bazoum élu président

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Le candidat du parti au pouvoir, avec 55,75 % des suffrages, est déclaré vainqueur du second tour de la présidentielle du 21 février dernier.
Sans surprise, Mohamed Bazoum succédera à Mouhamadou Issoufou. Selon les résultats provisoires publiés, ce mardi 23 février, par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), le candidat du Parti Nigérien pour la Démocratie et le Socialisme (PNDS Tarayya)a obtenu 2.501.459 voix.

challenger, Mahamane Ousmane du Rassemblement Démocratique et Républicain (RDR Tchanji), a pu récolter 1.895.736 voix, soit 45,25%.

À l’issue du premier tour, le dauphin du président sortant avait obtenu 39,30% contre 16,98% pour l’ex-chef de l’État (1993-1996).

Occupant respectivement la 3e et la 4e place au terme du premier acte, les leaders du Mouvement National pour la Société de Développement (MNSD Nassara) et du Mouvement Patriotique pour la République (MPR Jamhuriya) avaient finalement adoubé Mohamed Bazoum.

En outre, d’autres recalés comme Oumarou Malam Alma du Rassemblement pour la Paix et le Progrès (RPP Farrilla) et Hassane Barazé Moussa de l’Alliance Nigérienne pour la Démocratie et le Progrès (ANDP Zaman Lahiya) avaient demandé à leurs partisans de voter pour lui.

Pour ce scrutin, 7,4 millions de Nigériens, sur une population globale estimée à 24 millions, étaient appelés aux urnes à travers 26.000 bureaux de vote.

Apa

Sport : Passalet Lazaki candidat au poste du secrétaire général de la CONFEJES

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Le Tchadien Passalet Lazaki actuel directeur général du ministère de la Jeunesse et des Sports est candidat au poste du secrétaire général de la Conférence des Ministres de la jeunesse et des sports de la Francophonie (CONFEJES).

L’annonce a été faite ce lundi 22 février 2021 par le ministre de la Jeunesse et des Sports, M. Routouang Mohamed Ndonga Christian d’où la 38ème Session ministérielle qui aura lieu à Ouagadougou au Burkina Faso, du 23 au 27 février 2021. Y prendront part plus de quarante ministres issues de la francophonie.
Ainsi, une délégation tchadienne composée des cadres du ministère de la Jeunesse et des Sports, ainsi que du Conseiller diplomatique du Chef de l’État sera conduite par le ministre de la Jeunesse et des Sports pour cette 38ème session.
Au menu des travaux, une réunion des experts qui va plancher sur les thématiques majeures qui animent la vie de la communauté et entériner le projet des réformes de l’institution.

Selon le ministre de la Jeunesse et des Sports, Lazaki, est un cadre du ministère de la Jeunesse et Sports, jouit d’une expérience riche et signifiante qui le qualifie d’office à ce poste de haut niveau avec une incidence diplomatique conséquente. « Comme vous le savez, sous l’impulsion du Maréchal du Tchad, notre pays a mis en place une stratégie d’action à l’international qui donne des résultats. Nous espérons que la quête de monsieur Lazaki sera elle aussi couronnée de succès. Je joins ma voix à la vôtre pour lui souhaiter à lui et à notre pays, bonne chance », ajoute-t-il.

Il faut rappeler que le Tchad est membre de la CONFEJES depuis sa création en 1969. La Conférence des ministres de la Jeunesse et des Sports de la Francophonie (CONFEJES) est une institution composée de 43 États et gouvernements membres.

La CONFEJES sa vocation première est d’assurer la promotion de la participation des jeunes pour réussir les changements stratégiques porteurs de développement économique et de cohésion sociale. Espace de concertation, mais aussi d’action, la CONFEJES apporte conseil et appui à ses membres dans les domaines de la jeunesse et du sport, contribue à la formation des cadres dans ces mêmes secteurs et au développement de la vie associative.

#Tchad : Lancement du prix « Maréchal Awards », destiné aux jeunes talents

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Le Ministre de la Jeunesse et des Sports, M.Routounag Mohammed Ndonga Christian a procédé officiellement ce lundi 22 février 2021 au lancement du prix dénommé « Maréchal Awards », pour distinguer les jeunes talents âgés du 18 à 35 ans dans sept catégories différentes il s’agit entre autre, le prix sport, en entrepreneuriat, engagement citoyen, innovation sociale, de la musique, et du prix talent féminin.

Le dépôt de dossier est ouvert du 22 février au 25 mars 2021.


A cet effet, les prix « Maréchal Awards » se positionnent comme une réponse efficace à la problématique du financement des jeunes porteurs de projets avec pour objectif de stimuler l’esprit d’entreprenariat et le goût de l’initiative chez les jeunes.

Cette initiative est le fruit d’un partenariat avec le ministère de la Jeunesse et des Sports ainsi que les acteurs de l’écosystème entrepreneurial du Tchad afin d’offrir des opportunités d’emplois aux jeunes avec des résultats.

Les candidats désireux de participer à cette compétition toutes les informations sont disponible sur le site web du ministère de la jeunesse et de ses partenaires.


M. Routounag Mohammed Ndonga Christian estime que l’objectif du prix est de faire une place au soleil à tous les acteurs du développement socio-économique et principalement les jeunes qui excellent dans leurs domaines respectifs afin de sortir du lot à travers la créativité, l’innovation, le dépassement en soi. Car, la concurrence est rude, promet-t-il.
« Au Tchad, grâce à l’attention particulière accordée à la jeunesse par les plus hautes autorités dont à leurs têtes le Maréchal du Tchad Idriss Déby Itno, nous constatons ces dernières années l’éclosion d’une génération qui fait preuve d’ingéniosité et de créativité dans les principaux secteurs de développement que sont les sports, les technologies de l’information et de la communication, la culture, le cinéma. Il est donc urgent d’encourager cette lancée mais mettre en place un cadre de détection des nouveaux talents et les accompagner à canaliser et exploiter au mieux les potentialités », a justifié, le chef de département de la Jeunesse et des Sports.