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Sport : une pétition lancée pour sauver « le football tchadien »

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IL FAUT SAUVER LE FOOTBALL TCHADIEN, TROP C’EST TROP !

Loin de nous l’envie de dénigrer le Tchad et le sport Roi, mais trop c’est trop. On aime trop le football, pour ne récolter qu’échec  et médiocrité.

L’équipe actuelle de la fédération n’a aucune envie d’aider le football tchadien. On nous intoxique, on nous bourre, bref nous sommes conditionnés à n’être que des spectateurs passifs dans notre canapé alors que l’échec prend racine dans notre pays. On veut mettre tous les problèmes entre parenthèses pendant que notre équipe nationale échoue dans toutes les compétitions.

Savez-vous seulement que le gouvernement a injecté plus de 1 milliard de francs CFA entre 2017 et 2020 pour que le Sao redore son blason ? Pour information, l’équipe nationale ne bénéficie pas de tous les privilèges que les hautes autorités mettent à sa disposition et en plus sa gestion n’est pas transparente.

Ces dirigeants de la fédération ne pensent qu’à l’argent. Par leur incompétence, les supporters que nous sommes se transforment en idiots du village. Déceptions et humiliations sont devenues notre lot quotidien. A chaque défaite on accable nos joueurs alors que la source du problème est ailleurs. Pour que nos vaillants joueurs soient performants, il faut des prérequis, il faut tout un travail en amont qui relève de la compétence de la fédération. Malheureusement, rien n’est fait comme il se doit, tout est fait pour des intérêts individuels.

Nous devrions soutenir le ministère en charge des sports dans sa dynamique de redresser le football tchadien. Car trop c’est trop !  Si nous voulons que ça change, si nous voulons voir nos Sao briller, si nous voulons flotter le tricolore dans les grandes compétitions, si nous voulons entendre la Tchadienne dans les grands rendez-vous, alors nous devons prendre notre responsabilité.

Nous demandons à toutes les couches sociales de s’ériger contre ce groupuscule qui a confisqué le football du Tchad depuis plus de 12 ans.

La FIFA doit s’impliquer dans la résolution de cette situation et exiger le départ de cette équipe peu propice pour l’évolution du football…

Cette pétition qui peut être signée sur le lien : http://chng.it/CbK2ksRk a déjà recueilli une cinquantaine de signataires.

Ahmat Hassane

#Tchad : Idriss Déby Itno est à Conakry

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Le président de la République, Idriss Déby Itno est à Conakry dans la soirée de ce lundi 14 décembre 2020 c’est pour assister demain mardi à l’investiture du président réélu de la Guinée, Alpha Condé.

Il adresse toute sa gratitude au Gouvernement et au peuple de Guinée pour la chaleur de l’accueil.


« Je salue la mobilisation patriotique de la diaspora tchadienne de Guinée. Merci mes chers compatriotes pour cette ferveur expressive » à écrit le Maréchal du Tchad à travers sa page facebook.

Afrique : Sassou Nguesso désigné candidat à la présidentielle de 2021

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Le président congolais Denis Sassou Nguesso 77 ans dont 36 passés au pouvoir, a été désigné candidat à la présidentielle de mars 2021 par les partis membres de sa coalition politique, a appris apa de sources médiatiques.

Alors qu’il ne s’est pas encore prononcé sur sa candidature à la présidentielle de mars prochain, Denis Sassou Nguessou a été désigné par l’ensemble des dix-sept (17) partis qui composent la majorité présidentielle.

« Chaque parti de la majorité présidentielle a opté (ou va le faire incessamment) pour la candidature du président Sassou Nguesso. La majorité présidentielle pense que, de tous ses chefs, c’est le président Sassou Nguesso qui réunit tous les atouts », a indiqué Pierre Moussa, président intérimaire de la majorité présidentielle.

Une proposition qui doit être acceptée par le président sortant, déjà investi en décembre 2019 à Brazzaville par le principal parti de la majorité présidentielle, le PCT.

« Nous nous battrons vaillamment avec courage pour convaincre le président de la majorité pour qu’il accepte les implorations et les exhortations de sa base politique », a martelé M. Moussa, également secrétaire général du Parti congolais du travail (PCT).

Denis Sassou Nguessou était arrivé au pouvoir pour la première fois en 1979 avant de quitter ses fonctions en 1992, laissant le fauteuil à son opposant Pascal Lissouba, décédé le 24 août 2020 à Perpignan (France). Il était revenu aux affaires en 1997, quelques mois après l’éclatement de la guerre civile au Congo.

Et depuis cette date, il a été élu en 2002 avant d’être réélu successivement en 2009 et 2016. Denis Sassou Nguessou est actuellement l’un des plus anciens chefs d’Etat en place dans le monde, cumulant 36 années de pouvoir.

Apa

Société : ADHET déploie plus de 9000 activiste de la paix à N’Djaména

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Le Secrétaire Général de l’Alliance de Défenseurs des Droits Humains et de l’Environnement au Tchad(ADHET) M. Abba Daoud Nandjédé a présidé une cérémonie d’installation et de déploiement des activistes des districts provinciaux des arrondissements de la commune du 3ème, 4ème , 5ème et 8ème de la ville de N’Djaména.

La cérémonie à eu lieu ce lundi, 14 décembre 2020, au Centre Al-Mouna dans la commune du 3ème arrondissement. L’objectif de cette initiative, vise à déployer les activistes de la paix dans les quartiers, les rues, les marchés aussi bien que dans les établissements scolaires et universitaires pour parler des enjeux de la paix et plus spécifiquement de l’importance de la paix et du vivre ensemble.

M. Abba Daoud Nandjédé, a justifié que l’ambition de cette stratégie est de faire de ces districts des véritables outils de brassage, de sensibilisation à la paix, à la cohabitation pacifique et aux initiatives citoyennes pour un échange interculturel afin d’atténuer les tensions et les causes de conflits dans la communauté.

Le secrétaire général de l’Alliance de Défenseurs des Droits Humains et de l’Environnement au Tchad(ADHET) a annoncé qu’à N’Djaména, comme ailleurs, les districts seront implantés dans les cinq villes ciblées à savoir, Abéché, Doba, Mongo, Moundou et Moussoro. C’est l’occasion pour lui, d’exhorter les foyers et la communauté à s’impliquer davantage pour s’approprier les messages des jeunes activistes de la paix qui passeront, ajoute-t-il, de porte à porte et qui sont porteurs de l’idéal de vivre ensemble et du respect de valeurs citoyennes.

M. Abba Daoud Nandjédé a affirmé que l’initiative comme celle-ci offre à tous l’occasion de nous interroger sur notre propre vécu. L’occasion de se demander individuellement et collectivement comment est-ce que je contribue à la paix, la cohabitation pacifique, le respect de l’autre, la tolérance et la cohésion sociale pour même et pour mon pays.

«Voilà le message fondamental que j’aimerais que vous portiez avec vous pendant ces deux semaines de l’activisme de la paix. Ce message qu’il soit gravé dans vos esprits. Par ce la paix, chers jeunes, est et restera, l’aspiration fondamentale des hommes et de femmes de tous les coins du pays. Elle doit être un effort collectif, continu et soutenu », a-t-il instruit.

En outre, le secrétaire général de l’Alliance de Défenseurs des Droits Humains et de l’Environnement au Tchad a souligné que sans la paix, l’avenir d’une nation est mis en cause, car, sa population est privée de la possibilité de se développer, de réer des emplois, d’éduquer la jeunesse, de protéger l’environnement, de lutter contre la pauvreté et de faire avancer la justice sociale. Par ailleurs, M. Abba Daoud Nandjédé a annoncé qu’à la fin de la campagne d’installation des districts de la paix, le «Projet Nation, paix et développement » de l’ADHET aura à installer 174 districts dans 88 quartiers et chaque districts sera composés de 54 jeunes. Pour lui, tout calcul fait, dit-il, fera en tout 9 393 activistes de la paix dans la ville de N’Djaména. Qui d’après lui, constituent un relais efficace pour la culture de la paix, le dialogue inclusif et un point de départ pour le développement.
MSK. Lawandji

Médias : La HAMA autorise la parution de 7 journaux

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La Haute Autorité de Médias et de l’Audiovisuel (HAMA) par décision N° 032 du 11 décembre 2020, signé par son président de M. Dieudonné Djonabaye a levé la mesure de suspension de sept(7) journaux. Il s’agit de journal le Baromètre, Lalekoum, Alnadha, Chabab Tchad, le Potentiel, Al khabar et Al Ayam.


En effet, en date du 7 septembre 2020, la HAMA a pris une décision N° 026 portant suspension de parution de douze(12) organes de presse écrite dont il s’agit de. Le journal le Baromètre, Lalekoum, Alnadha, Chabab Tchad, le Potentiel, Al khabar et Al Ayam pour défaut de mise en conformité à la loi qui régisse la presse au Tchad.
Pour cette raison, les responsables de sept(7) organes de presse cités-ci haut ont introduit auprès de la HAMA les dossiers de mise en conformité à la législation sur le régime de la presse au Tchad.

C’est pourquoi, la HAMA, par cette présente décision a autorisé ces organes à paraitre conformément aux conditions fixées par la loi.

M.S.K.Lawandji

Vaccin anti Covid-19 : les Africains à la traîne

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Alors que le monde entier se prépare à des campagnes de vaccination contre la Covid-19, l’Afrique ne serait pas encore prête.

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) tire la sonnette d’alarme. L’Afrique n’affiche à ce jour qu’un score moyen de préparation pour le déploiement du vaccin contre le nouveau coronavirus dont la mise en circulation est imminente dans plusieurs régions du monde. Avec un score de 33% seulement, le continent noir reste très loin du niveau de référence qui est de 80%.

Hormis le Maroc, aucun autre pays africain ne dispose de capacités de production du précieux liquide. Le Royaume chérifien peut industriellement mettre en flacons la matière première du vaccin et produire des millions de seringues pré-remplies.

Face à cette situation, la directrice régionale de l’OMS, Matshidiso Moeti, a invité les autres gouvernements africains à « urgemment intensifier leur préparation ». Elle prévient que « la planification et la préparation seront décisives pour cette tâche sans précédent » dans l’histoire sanitaire de l’Afrique.

S’exprimant lors d’une conférence de presse virtuelle sur la situation épidémiologique du continent, Mme Moeti a noté que les pays africains et les partenaires de son organisation ont besoin « de plans de coordination nationale solides et complets, ainsi que des systèmes en place ». Selon elle, les Africains ont «besoin d’un leadership actif et d’engagement aux plus hauts niveaux des gouvernements ».

Les 47 pays africains couverts par l’Oms-Afrique ont reçu l’outil d’évaluation qui prépare à l’introduction du vaccin contre la Covid-19. Mais des défis liés au manque de financement, d’instruments de mesure et de communication avec les populations sont à relever. Pour atteindre ces objectifs, « la solidarité internationale sera impérative », estime Mme Moeti.

Coût et accès

En dehors de l’aspect préparatoire et du déploiement, l’accès au vaccin constitue l’autre défi majeur à relever. L’OMS évalue le coût du déploiement en Afrique vers les populations prioritaires à environ 5,7 milliards de dollars, soit plus de 3000 milliards FCFA.

Ce montant n’inclut pas les coûts supplémentaires de 15 à 20% pour le matériel d’injection et la livraison des vaccins, nécessitant des personnels de santé formés, une chaîne d’approvisionnement et la mobilisation des communautés. Il est calculé à partir de l’hypothèse d’un prix moyen du vaccin de 10,55 dollars par dose, sachant que deux doses seront nécessaires.

D’ailleurs, l’OMS collabore avec des partenaires comme « Gavi, l’Alliance du vaccin » pour garantir un accès équitable aux vaccins sur le continent. Cette organisation est membre de la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies (Covax). Celle-ci est en fait le mécanisme mondial de partage des risques pour l’achat groupé et la distribution équitable de futurs vaccins contre la Covid-19.

Selon l’anthropologue sénégalais, Ibrahim Niang, interrogé par APA, l’Afrique devrait toutefois rester sur ses gardes. « Il ne faudrait pas que les relations d’inégalités au niveau international affectent l’appropriation et la circulation des vaccins et que nous soyons pris dans le piège des relations internationales économiques et politiques qui nous dépassent », prévient le chercheur.

Déjà, « il faudrait que l’Afrique commence à parler d’une seule voix pour avoir une réponse cohérente et adaptée à nos différents contextes », recommande-t-il.

Selon l’analyse faite par l’OMS, seuls 12% des pays détiennent des plans pour communiquer avec les communautés afin de bâtir la confiance et susciter une demande de vaccination. Cette situation témoigne une fois de plus du travail qu’il reste à faire. Parce que « développer un vaccin sûr et efficace n’est que la première étape d’un déploiement réussi », fait remarquer Dr Moeti.

Rôle des communautés

Il n’y a pas de doute que « si les communautés ne sont pas associées et convaincues que le vaccin protégera leur santé, nous ferons peu de progrès », a-t-elle fait savoir, appelant d’ores et déjà les autorités à s’adresser aux communautés et à être « attentives à leurs préoccupations ».

Le sénégalais Ibrahim Niang a beaucoup travaillé dans ce domaine de la communication quand l’épidémie à virus Ebola est apparue il y a quelques années en Guinée. Pour lui, « s’il y a eu des résistances en Afrique par rapport aux vaccins, c’est parce que depuis le siècle passé, il y a eu énormément de tests qui ont été faits sur les populations africaines, particulièrement noires, sans le respect des considérations éthiques ». L’anthropologue juge donc le sentiment de peur « normal » à cause des « souvenirs violents ».

Mais, relativise-t-il, « les vaccins sont acceptés par les communautés. Elles les utilisent et les réclament même parfois ». Tout dépendra en effet des réponses qui seront apportées aux questions suivantes : « Comment on en discute ? Quelle est la part d’appropriation des populations de ces vaccins ? Et comment les populations peuvent elles-mêmes contrôler leur efficacité et la sûreté du vaccin ? »

Répondre à ces interrogations est pour lui la seule voie qui permettrait à la future campagne de vaccination contre la Covid-19 de ne pas être perçue comme « une réponse autoritaire ».

Pour le Sénégalais, les chercheurs en sciences sociales devraient être sollicités pour « aider à voir sur quel levier s’appuyer pour avoir une mobilisation communautaire autour de la question du vaccin et de la dynamique de l’épidémie ».

L’OMS envisage de vacciner, d’ici à mars 2021, au moins 3% de la population africaine et espère atteindre 20% d’ici la fin de l’année prochaine.

Apa

« Le Tchad est éternel et aucun calcul mesquin quelque soit sa corrosivité ne peut altérer ce précieux trésor »Déby

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  • Monsieur le Président de l’Assemblée Nationale ;
  • Madame la Première Dame ;
  • Messieurs les Présidents de Grandes Institutions de la République ;
  • Mesdames, Messieurs les Membres du Gouvernement ;
  • Mesdames, Messieurs les Députés ;
  • Messieurs les Présidents et Secrétaires Généraux des Partis Politiques,
  • Mesdames, Messieurs.

Je vis ce matin une émotion citoyenne, la même que celle qui m’a  animé le 04 mai 2018 lors de la promulgation de la Constitution consacrant la 4ème République. 

Je parle d’émotion citoyenne parce que c’est avec un sentiment de devoir républicain, que je me plie aux usages en promulguant  la loi fondamentale de notre pays.

Aussi, voudrais-je, à cet instant  solennel qui marque un autre pan de notre histoire, saluer l’acte  du peuple souverain  qui a décidé de revisiter la constitution de notre pays.  

Je voudrais également  féliciter la Représentation Nationale  pour la qualité de son travail législatif à l’aune de l’examen très minutieux du  texte constitutionnel  soumis à sa sagacité.

  • Monsieur le Président de l’Assemblée Nationale ;
  • Mesdames, Messieurs.

A travers  l’adoption à une écrasante majorité de la constitution revue, les  députés  ont, en réalité,  suivi la dynamique progressiste du peuple qui a jugé  nécessaire d’opérer des ajustements institutionnels à un moment clé de la vie de la Nation.

En effet,  les innovations apportées à l’architecture constitutionnelle lors du deuxième Forum National Inclusif sont le fruit d’une analyse lucide des  populations   des  premiers pas de la 4ème République.

L’évaluation qui a été faite a  effectivement montré la nécessité de donner un nouvel élan à notre marche commune sur la voie de la démocratie, du renouveau et du progrès.

Comme je l’avais souligné lors de la clôture du deuxième Forum National Inclusif,  toute réforme institutionnelle qui va dans le sens de l’intérêt  supérieur de la Nation  a une dimension sacrée.

Ce sera une faute à la fois politique,  morale et historique  de céder à la sclérose, à l’inaction et à l’immobilisme tant la sagesse des Nations nous enseigne  l’adaptation à toute épreuve pour être à la hauteur des défis en lien avec le temps et  les évolutions qui en découlent.

Nous ne devrons pas avoir honte ou peur de rectifier le tir si l’on est majoritairement  conscient de la justesse et de la noblesse de nos ajustements.

Notre préoccupation première, c’est la rénovation utile et le  futur de cette Nation qui nous a tout donné. Oui, notre raison d’être, c’est l’avenir du Tchad. Aucune considération ne saurait transcender la foi patriotique et l’amour du pays. Et nous n’avons d’ailleurs aucune raison de désespérer et de ne pas croire en ce pays.

Sans vouloir m’ériger en  donneur de leçons, je dis simplement que tous ceux qui pensent que noircir le Tchad est un investissement  ou une action en bourse  se trompent  lourdement.   Le Tchado-nihilisme  n’est pas et ne sera jamais un ascenseur politique.

Le Tchad est  éternel et aucun calcul mesquin quelque soit sa corrosivité ne peut altérer ce précieux trésor.

Mesdames, Messieurs.

En parlant à l’instant de la rationalisation institutionnelle, je fais allusion aux changements majeurs  qui sont mis en exergue dans la nouvelle loi fondamentale de la République.

Qu’il s’agisse de la création de la vice-présidence et  du Senat, de la restauration de la cour des comptes et du poste de Médiateur National,   du recentrage du Haut Conseil des Chefferies Traditionnelles et de la suppression du caractère confessionnel du serment,  nous sommes en face des actes de haute portée qui résultent de la volonté populaire.

Bien évidemment, le moment viendra où l’on pourra faire des évaluations  de l’existant comme celles qui ont été faites au cours du deuxième Forum National Inclusif.  En décidant d’instituer une session évaluative triennale des résolutions du Forum, les Tchadiennes et Tchadiens ont fait preuve de perspicacité  car les lois humaines sont par essence  évolutives.

Monsieur le Président de l’Assemblée Nationale ;

Mesdames, Messieurs.

Je termine mon propos,  en remerciant une fois de plus les députés qui ont toujours montré la voie à suivre quand il s’agit de l’intérêt suprême du pays.

Cette attitude patriotique doit animer chaque Tchadienne et chaque Tchadien car ce pays est un   héritage commun. Nous avons tous l’obligation de contribuer à l’oeuvre  de la  cohésion fraternelle,  de la stabilité, de la paix et du développement.

J’insiste sur la notion d’obligation  car si on ne le fait pas aujourd’hui, la condamnation de la postérité sera sans appel.

Je vous remercie de votre bien aimable attention.

Football : Retrait provisoire de la délégation de pouvoirs à la FTFA

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Le ministère de la Jeunesse et des Sports a annoncé ce vendredi 11décembre 2020 le retrait provisoire de la délégation du pouvoirs à la Fédération Tchadienne de Football Association pour une durée de trois mois afin de permettre à ladite fédération de revoir sa position. Passé ce délai, le retrait définit de la délégation de pouvoirs va être systématique.


A cet effet, par le retrait provisoire de cette délégation de pouvoirs il est formellement interdit à ladite fédération de participer aux différentes rencontres comme le séminaire, stage, compétitions, réunions, assemblées générales sur le plan internationales, et d’organiser, ou de participer à toute autre compétition ou manifestation à l’échelle nationale ou internationale au nom du Tchad.


C’est le contenu d’un point de presse présenté par la directrice des sports de haut, Nemadji Assel Solange.

Afrique : Washington reconnait la souveraineté du Maroc sur le Sahara et décide l’ouverture d’un consulat à Dakhla

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Les Etats unis d’Amérique ont reconnu, pour la première fois de leur histoire, la pleine souveraineté du Maroc sur le Sahara et décident l’ouverture d’un consulat à Dakhla, à vocation essentiellement économique, en vue d’encourager les investissements américains et la contribution au développement économique et social, au profit notamment des habitants des provinces du Sud.

Lors d’un entretien jeudi avec le Roi Mohammed VI, le président américain Donald Trump a informé le Souverain de « la promulgation d’un décret présidentiel, avec ce que cet acte comporte comme force juridique et politique indéniable et à effet immédiat, portant sur la décision des États-Unis d’Amérique de reconnaitre, pour la première fois de leur histoire, la pleine souveraineté du Royaume du Maroc sur l’ensemble de la région du Sahara Marocain », indique un communiqué du Cabinet royal.

Dans ce cadre, et à titre de première concrétisation de leur initiative souveraine de haute importance, les États-Unis d’Amérique ont décidé l’ouverture d’un consulat à Dakhla, à vocation essentiellement économique, en vue d’encourager les investissements américains et la contribution au développement économique et social, au profit notamment des habitants des provinces du Sud, ajoute la même source.

A cette occasion, le Souverain a exprimé, en son nom et au nom de l’ensemble du peuple Marocain, au président américain sa profonde gratitude aux États-Unis d’Amérique pour cette prise de position historique.

Il a également transmis ses « sincères remerciements au président américain et à son équipe pour ce soutien franc et sans ambiguïté à la Marocanité du Sahara ; soutien qui renforce le partenariat stratégique puissant entre les deux pays et le rehausse au niveau de véritable alliance qui englobe l’ensemble des domaines », souligne-t-on

Le Souverain marocain a souligné que bien que l’occasion ne se soit pas présentée pour rencontrer directement son le Président américain, les consultations et la coordination se sont poursuivies, en particulier depuis la visite de M. Jared Kushner, Conseiller spécial du président USen mai 2018, qui a été décisive sur différentes questions, y compris ce sujet ; ainsi qu’à travers les contacts, l’échange de délégations et un certain nombre de visites non officielles.

« Cette position constructive des Etats-Unis d’Amérique vient renforcer la dynamique de la consécration de la marocanité du Sahara marocain, confirmée par les positions de soutien par un ensemble de pays amis, ainsi que par les décisions de nombreux pays d’ouvrir des consulats dans nos Provinces du sud », poursuit le communiqué.

Elle intervient également après l’intervention décisive et efficace des Forces Armées Royales, dans la zone de Guerguerat, afin de maintenir la sécurité et la stabilité dans cette partie du territoire marocain, et d’assurer la libre circulation des personnes et des biens avec les pays frères africains.

Apa

#Tchad : Un projet pour la promotion de la paix dans 3 provinces du pays

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La Ligue Tchadienne des Droits de l’Homme (LTDH) avec l’appui financier de l’Union Européenne (UE) a lancé ce jeudi 10 décembre 2020, à Sarh, chef-lieu de la province du Moyen Chari, un projet pour la promotion de la paix et renforcement de la cohésion sociale.


Ce projet couvre trois grandes villes de la partie septentrionale du Tchad. Il s’agit de la ville de Sarh, Koumra et Kyabé. Le projet durera 11 mois.


Il faut souligner que le projet promotion de la paix et renforcement de la cohésion sociale sera mis en œuvre par la LTDH, à travers sa coordination du Moyen Chari, Mandoul, Salamat.


Le projet jettera les bases d’un développement durable à travers les actions proposées et fera des jeunes désorganisation de la société civile (OSC). Ce projet, estime, la LTDH, fera les bénéficiaires des acteurs responsables, crédibles, informés et compétents de la vie économique et sociale du pays afin d’accroître à terme la participation citoyenne dans le processus de prise et de suivi des décisions au niveau local et national.