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Fait-divers : La ministre de la Femme condamne l’assassinat d’une jeune fille

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La minisre de la Femme et de la Protection de la petite enfance Amina Priscille Longoh condamne avec la dernière énergie à travers une publication sur sa page Facebook « l’acte odieux et barbare sur la jeune Aida Isabelle, élève en classe de seconde scientifique âgée de 17 ans, tuée par l’un de ses prétendants.

C’était dans la soirée du lundi 02 novembre que la jeune fille reçoit la visite de Youm Dinou. Elle promet que cet acte ne restera pas impuni et inacceptable, cette pratique n’est pas la nôtre, elle n’est pas tchadienne, mais quelle horreur, décrit la ministre.

A cet effet, selon Tchadinfos après plusieurs heures d’échanges, le présumé meurtrier sort de la chambre de Aida. Un instant après son départ, la fille est retrouvée morte dans sa chambre. Il l’aurait certainement étranglée, confie un proche de la victime. “Ce prétendant serait vexé face au refus de ses avances par notre fille“, ajoute-t-il. Pour l’entourage de la fille, Aida a déjà un homme avec qui, ils se comprennent bien. Le monsieur est mis aux arrêts pour besoin d’enquête. La fille sera inhumée dans quelques jours.

 » Mes frères, mais que se passe t-il? L’homme tchadien a toujours été protecteur, aimant, attentionné, généreux. Une femme n’est pas un objet sexuel, ça suffit ! Elle a aussi le droit de dire Non » écrit Amina Priscille Longoh. Elle poursuit que « Nous ne souhaitons pas des pareils actes soient pour que justice soit faite, mais nous souhaitons que les consciences de nos hommes soient interpellées et qu’ils arrêtent de ternir l’image que les femmes tchadiennes ont de leurs hommes. »

#Tchad-#USA :Idriss Déby félicite Joe Biden

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Le Maréchal du Tchad, Idriss Déby Itno a présenté via son compte twitter ses félicitations àJoe Biden etKamala Harris pour leur élection à la présidence des États Unies d’Amérique.


Le président de la République salue la bonne coopération entre les États Unis et le Tchad qui a été a toujours marquée sous le sceau de l’excellence.


Tout en espérant vivement que ce partenariat se consolide davantage.

#Tchad : Déby lance deux projets au Mandoul

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Le Maréchal du Tchad, Idriss Déby Itno, a présidé une double cérémonie, il s’agit du lancement du Projet d’appui aux réfugiés et communautés d’accueil (PARCA) et de bitumage du tronçon Moissala-Bedaya.  

A partir de ce 08 novembre, démarrent officiellement les travaux de réhabilitation de la route Moissala-Bedaya, longue de 75 km. Ce tronçon fait partie intégrante du Projet de connectivité et de mobilité rurale qui prévoit, pour la première phase, la réalisation de 400 km de route dans les provinces du Mandoul et du Moyen-Chari. A terme, il va booster la productivité agricole, de créer de l’emploi, d’accroitre les activités commerciales et des revenus et ainsi réduira significativement le temps de trajet.

Ces chantiers, dira le Ministre des infrastructures et du désenclavement, M. Ahmat Abakar Adjid confirme les promesses faites par le Maréchal du Tchad à l’endroit de la population et vient matérialiser son ambition de rapprocher autant que possible les filles et fils du Tchad en mettant à leur disposition des infrastructures de qualité et en quantité suffisante pour une mobilité fluide, facteur de croissance. Il a demandé à l’entreprise en charge de construction et au bureau de contrôle à veiller au respect des termes du contrat et aux autorités et aux populations d’apporter leur soutien pour la bonne exécution des travaux.

La similitude du Projet de connectivité et de mobilité rurale avec un autre, le PARCA (Projet d’appui aux réfugiés et communautés d’accueil), réside dans l’importance qu’il recouvre mais aussi dans le bailleur, la Banque mondiale, qui injecte 135 millions de dollars américains soit 67,5 milliards F CFA. Le PARCA, d’après la description technique faite par son coordonnateur national, M. Japhet Doudou, va s’employer à améliorer l’accès des réfugiés et communautés d’accueil aux services essentiels de base, aux moyens de subsistance et aux filets sociaux et renforcera les systèmes nationaux de gestion de la situation des réfugiés. 130 000 ménages pauvres et vulnérables bénéficieront des transferts monétaires et des infrastructures de base dans 7 provinces que sont l’Ennedi Est, Lac, Logone Oriental, Mandoul, Moyen Chari et Wadi Fira sur une période de 5 ans. Tout ceci fait dire au Ministre du Plan, de la Planification du développement et de la Coopération internationale, Dr Issa Doubragne que les résultats préliminaires sont encourageants justifiant l’extension géographique du projet. Le dispositif offert par le PARCA qui comprend également un soutien juridique assuré par la CNARR, selon lui, viendra faciliter l’intégration des réfugiés et soulager efficacement les populations d’accueil qui partagent leurs maigres ressources depuis l’arrivée des réfugiés et rapatriés en provenance de la RCA et du Soudan.

Ce qui se passe dans le voisinage du pays, selon le Maréchal du Tchad, doit amener les Mandoulais en particulier et les tchadiens en général à beaucoup prier, à s’accepter, à respecter la laïcité pour préserver la paix dans le respect de leurs différences qui sont selon lui, une richesse. Il a attiré l’attention de ses concitoyens sur les esprits divisionnistes propagés par des politiciens qui cherchent honteusement à replonger le Tchad dans des moments les plus sombres de son histoire. Le Maréchal du Tchad d’annoncer la reprise et l’achèvement prochains des projets de construction des infrastructures aux arrêts depuis 2014 non sans avoir demandé aux Mandoulais de faire des efforts pour mettre fin au mariage d’enfants et à porter le taux de scolarisation des filles de 30 à 100%.

En tournée : Idriss Déby Itno s’engage à concrétiser ses promesses au Mandoul

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A Koumra chef-lieu de la province du Mandoul, le Maréchal du Tchad, Idriss Déby Itno a promis lors de la série de rencontres avec les autorités administratives, militaires, traditionnelles et religieuses et les Chefs des unités administratives et délégués des différents ministères, entre autres, la construction d’un centre multimédia, l’intégration des jeunes à la fonction publique, l’octroi des crédits aux jeunes et femmes à travers l’installation prochaine d’une usine pour industrialiser la filière des oléagineux et le paiement dans le meilleur délais de l’argent destiné à parachever les travaux de construction du château d’eau de Koumra.

Il en est de même pour le Palais de justice et du stade dont les chantiers vont redémarrer.


Donnant suite à leurs doléances, le Maréchal du Tchad a annoncé aussi l’augmentation du nombre de goumiers qui passe de 2 à 5 à partir du 1er janvier 2021, le rétablissement des indemnités aux chefs de canton à partir de ce mois de novembre 2021. Chefs de canton, village et ferriques, imams et pasteurs ont un rôle central, reconnaît-il, magnifiant également le combat que mène la femme mandoulaise à qui il a fait part de son admiration.


Le Président de la République, a donné un certain nombre d’orientations pour l’efficacité de l’administration notamment, le laxisme, l’absentéisme des fonctionnaires, la mauvaise gestion des ressources n’ont plus droit de cité dans l’administration. Idriss Déby Itno qui engage tous les chefs des unités administratives et des services publics à se mettre au travail et en faveur de la population sont le vivre-ensemble, l’éducation des enfants, la lutte contre l’exploitation des enfants et leur mariage, la lutte contre les mutilations génitales féminines.


« Vous êtes des soldats au service de la Nation, des soldats républicains », a signifié le Maréchal du Tchad qui annonce par ailleurs, l’envoi dans les prochains jours de 20 véhicules et le renforcement de la zone de défense N° 5 en effectif pour mener à bien ses missions. Ainsi, les brebis galeuses qui déshonorent l’Armée sont mises en garde. « Tout officier qui a mis plus de 3 ans sera muté. Ceux qui se sont transformés en éleveurs sont sommés d’arrêter immédiatement ou à défaut, de déposer la tenue. L’exemplarité et l’appel au devoir s’imposent également aux Chefs traditionnels, coutumiers et religieux » a instruit, Idriss Déby Itno président de la République.

Portraits : Kamala Harris, première femme vice-présidente des États-Unis, entre dans l’Histoire

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C’est la consécration d’une carrière hors normes: Kamala Harris, ancienne procureure et fille d’immigrés, entre dans l’Histoire comme la première femme à accéder à la vice-présidence des États-Unis.

À 56 ans, la dynamique et pugnace sénatrice de Californie a permis à Joe Biden, 77 ans, d’engranger les voix d’un électorat plus divers qui avait soif de se voir mieux représenté au sommet du pouvoir. À tel point que certains électeurs disaient voter non pas pour M. Biden, mais pour elle, la fille d’un père jamaïcain et d’une mère indienne. 

Pendant la campagne, celle qui sera aussi la première personne noire à devenir vice-présidente du pays, a appelé sans relâche à une mobilisation historique des femmes et des minorités, en dénonçant les tentatives d’entraver le scrutin dans des États républicains. 

« Pourquoi croyez-vous que tant de gens puissants (…) essayent de vous empêcher de voter », a-t-elle demandé en Géorgie, l’un des États-clés de l’élection. « Ils connaissent votre pouvoir », a-t-elle répondu. « Ne laissez personne vous mettre hors-jeu. »

Arborant toujours un masque contre le coronavirus et respectant les distances de précaution comme Joe Biden, elle a mené une campagne plus active que le septuagénaire, dansant au rythme des fanfares ou s’entretenant avec les clients de cafés… en extérieur, pandémie oblige.

Elle a aussi rencontré à Milwaukee la famille de Jacob Blake, un homme noir grièvement blessé par la police, en pleine vague de colère historique contre le racisme aux États-Unis. 

Pionnière

Forte d’un parcours brillant, digne du meilleur rêve américain malgré des chapitres controversés, elle rêvait de devenir la première femme présidente noire des États-Unis. 

Elle a finalement brigué la vice-présidence, mais avec, sans doute, un œil sur la présidentielle de 2024 et l’espoir de briser, alors, l’ultime plafond de verre. 

Elle a grandi à Oakland, où ses parents (un père professeur d’économie et une mère, aujourd’hui décédée, chercheuse spécialiste du cancer du sein) militaient pour les droits civiques.

Diplômée de l’université Howard, fondée à Washington pour accueillir les étudiants afro-américains en pleine ségrégation, elle rappelle régulièrement son appartenance à l’association d’étudiantes noires « Alpha Kappa Alpha ». 

Après deux mandats de procureure à San Francisco (2004-2011), elle avait été élue, deux fois, procureure générale de Californie (2011-2017), devenant alors la première femme,

mais aussi la première personne noire, à diriger les services judiciaires de l’État le plus peuplé du pays.

Puis en janvier 2017, elle avait prêté serment au Sénat à Washington, s’inscrivant comme la première femme originaire d’Asie du Sud et seulement la deuxième sénatrice noire dans l’histoire.

Ses interrogatoires serrés de candidats présidentiels à des postes que le Sénat doit confirmer l’ont depuis fait connaître, comme face aux juges nommés à la Cour suprême Brett Kavanaugh et Amy Coney Barrett.

Pendant la primaire démocrate, elle avait d’ailleurs promis de « mener le réquisitoire » contre Trump. 

« Monstre »

Mais lors d’un des débats, c’est contre Joe Biden qu’elle avait fait des étincelles, en l’attaquant sur ses positions passées concernant les politiques de déségrégation raciale dans les années 1970. 

En racontant comment, petite fille, elle était dans l’un des bus amenant les écoliers noirs dans les quartiers blancs, elle avait ému, et bondi brièvement dans les sondages.

Peinant à définir clairement sa candidature, elle avait toutefois jeté l’éponge.

Ses expériences dans les branches législative, judiciaire et exécutive du pouvoir, et sa proximité avec Beau Biden, fils de Joe et ancien procureur du Delaware décédé d’un cancer en 2015, ont malgré tout convaincu son ex-rival de la choisir comme colistière.

Il compte aussi sur son image moderne de femme se présentant en « Momala », fière de sa famille mixte et recomposée. Son époux, l’avocat blanc Douglas Emhoff, a lui aussi participé activement à la campagne présidentielle. 

Mais son passé de procureure pèse aussi contre elle. Des électeurs noirs et progressistes déplorent sa réputation de dureté, notamment en punissant strictement de petits délits qui ont, selon ses détracteurs, affecté surtout les minorités.

Face à Mike Pence, dans le seul débat des vice-présidents, elle avait attaqué à de multiples reprises la gestion par l’exécutif de la crise du coronavirus, qu’elle a qualifiée de « plus gros échec de toute administration présidentielle dans l’histoire » du pays. 

Le lendemain, Donald Trump l’avait traitée de « monstre » qui ne dit que « des mensonges ». Il n’a de cesse de mettre en garde contre ses opinions, qui feront, selon lui, plonger l’Amérique dans un « socialisme » honni.

AFP

Médias: Protection et sécurité de journalistes débattues en une journée

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Le Directeur général du ministère de la communication, M. Doubaye représentant son ministre a clos ce samedi 7 novembre 2020, à l’hôtel Ledger Plaza, la journée de réflexion sur la protection et la sécurité des journalistes en période de crise à l’occasion de la journée internationale de la fin de l’impunité des crimes commis contre les journalistes.


Une journée organisée par l’Union des Journalistes Tchadiens (UJT) en collaboration avec l’antenne UNESCO au #Tchad.


À la fin de cette journée, les participants ont recommandé au gouvernement de protéger et assurer la sécurité des journalistes dans l’exercice de leur métier, de mettre fin aux harcèlements et à l’intimidation des professionnels des médias, de faire la lumière sur la disparition de leur confère Noubadoum Sotinan, d’appliquer strictement l’article 49 de la loi 31 relatif au libre accès aux sources d’information etc. À l’UJT de sensibiliser et mobiliser davantage les professionnels des médias sur la gravité de question de l’impunité de crimes commis contre les journalistes et la nécessité de se mettre ensemble pour exiger plus de sécurité et de vulgariser le guide sur la sécurité de journalistes en vue de mettre fin à l’impunité et aux crimes commis contre les journalistes. Et à l’endroit de l’UNESCO, d’accompagner les autorités tchadiennes à prendre de mesures précises pour combattre la culture de l’impunité.


Le président de l’UJT M. ABBAS a rappelé que le monde célèbre chaque année cette journée afin de faire la lumière sur les crimes commis contre les journalistes dans le monde et dont les auteurs, observe-il, échappent à la justice. Selon lui, ces crimes varient et vont du harcèlement, de l’intimidation, de menace, jusqu’aux agressions physiques etc.
Citant l’UNESCO, M. ABBAS, dit que plus d’un million des journalistes ont été tués au cours de dix dernières années. Ce chiffre, explique-il n’incluent pas le grand nombre de journalistes qui sont quotidiennement soumis à des attaques non mortelles telles que la torture, les disparitions forcées, les arrestations arbitraires etc.


Le directeur général du ministère de la communication a indiqué qu’à travers le monde, les journalistes dans l’exercice de leur metier, font l’objet de divers types d’agressions, de menaces voire de mort, qui constituent un obstacle majeur à l’éclosion de la presse libre et indépendante. À ce titre, a souligné M. Doubaye, le gouvernement reconnaît l’importance de la problématique examiné au cours de votre atelier dont le thème est une préoccupation partagée à l’ensemble de la communauté internationale.
MSK. Lawandji

#Tchad-Tournée : Les engagements de Déby pour le Mayo-Kebbi Ouest

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Le Maréchal du Tchad, Idriss Déby Itno a annoncé lors de la rencontre à Pala avec les autorités administratives du Mayo-Kebbi Ouest que l’usine de Baoré démarrera d’ici un mois et une subvention de 5 milliards de F CFA est versée par le trésor.


Le prix du sac de ciment sera subventionné, a instruit le Maréchal du Tchad et aucun fonctionnaire de l’Etat et/ou élément des forces de défense ou de sécurité ne doit passer plus de trois ans dans une province. Tous les gouverneurs et membres du gouvernement sont instruits à cet effet. 


Aux chefs militaires et paramilitaires, les instructions du président de la République sont brèves, concises et exécutoires. Il n’y aura pas de dérobade ici, insiste-t-il. « ordre donné, ordre exécuté ». La présence militaire et paramilitaire est renforcée au Mayo-Kebbi Ouest. A cet effet, le Commandant de la région militaire n° 12 coiffant les deux Mayo-Kebbi et la Tandjilé et ses hommes sont instruits à traquer et neutraliser partout où ils  se trouvent les auteurs, co-auteurs et complices du rapt des personnes contre rançon. « Que ces hors la loi sentent que dans ce pays, il y a une armée capable de sécuriser les personnes et leurs biens », a-t-il expliqué relevant qu’il ne veux voir aucune barrière à l’intérieur du pays.
« Les barrières doivent être posées à la frontière. Vivez dignement de vos salaires »,conclut-il.

Par ailleurs, le Maréchal du Tchad a exhorté les chefs traditionnels et leaders religieux à collaborer avec les autorités administratives et chefs militaires pour les aider à éradiquer ce phénomène dans la province. Selon lui, l’éducation des enfants et surtout celle des filles, tout en se félicitant du taux de scolarisation au Mayo-Kebbi Ouest, il est 99, 9%, cependant, il a déploré la déperdition scolaire des filles pour cause de mariage précoce. Aucun progrès n’est envisageable sans éducation. L’éducation est le soubassement de tout développement.
Le président de la République, a précisé que les travaux de construction du tronçon Kélo-Pala-Léré redémarreront sous peu ainsi le chantier de l’Université de Pala. Tous les projets en arrêt au Mayo-Kebi Ouest reprendront, promet-t-il.

Médias : Des journalistes du Lac et Hadjer Lamis en formation à Bol

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Le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et la Haute Autorité de Média et de l’Audiovisuel (HAMA), forment durant une semaine des journalistes et techniciens à Bol chef-lieu de la province du Lac.

Le coup d’envoi de cette formation a eu lieu ce vendredi 6 novembre 2020.
Sous la supervision du formateur Bétel Mianroum chef de département des nouveaux médias de la HAMA, l’objectif de la formation est de renforcer les capacités de ces journalistes en techniques de collecte et traitement de l’information ainsi que le montage.


Les participants sont venus des différentes radios communautaires de deux provinces (Lac-Hadjer-Lamis), Nangui FM de Bagasola, Doumchi FM de Massakory, FM Al Hadaba de Karal et de KADAYE FM de Bol.

Tournée présidentielle : Agenda chargé du maréchal du Tchad au sud du pays

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Après le Mayo-Kebbi Est, le Maréchal du Tchad Idriss Déby Itno, se trouve ce vendredi 6 novembre 2020 à Pala chef-lieu de la province du Mayo-Kebbi Ouest, où plusieurs activités sont inscrites dans son agenda qui prévoit entre autres, des rencontres avec les autorités administratives, chefs militaires et paramilitaires ainsi que les autorités traditionnelles et les leaders religieux.


Aussi, le Président de la République lancera-t-il à Pala la phase 2 du Projet pour lautonomisation des femmes et le dividende démographique au Sahel (SWEED). Il vient à Pala engager une lutte totale aux auteurs, co-auteurs et ou complices des enlèvements des personnes contre rançon. Les spécialistes de ce commerce à la fois désagréable et insultant sont avertis.


A Koumra, il procédera aussi à la pose de première pierre de construction du tronçon Moïssala Bedaya puis au lancement du projet dappui aux réfugiés et communautés daccueil (PARCA).
Pour clôturer sa tournée, le Président de la République inaugurera la Nouvelle Société de Textile du #Tchad et lancera le projet de développement des compétences et de lemployabilité des jeunes du Tchad puis posera la pierre de construction du centre de formation professionnelle et technique (CFPT).

Médias : Le journal «Kellou magazine» lance ses activités

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Le vice-président de la Haute Autorité des Média et de l’Audiovisuel (HAMA) M. Ali Djibrine Ali a lancé officiellement ce vendredi, 6 novembre 2020, «Kellou Magazine », au cours d’une cérémonie organisée à la Bibliothèque Nationale sis au quartier Amriguébé dans la commune du 5ème arrondissement en présence de plusieurs invités venus pour la circonstance.


«Kellou Magazine » est un magazine d’information et promotion de la femme tchadienne de 20 pages, tiré en 500 exemplaires et vendu à 1000 FCFA le numéro. Sa ligne éditoriale est un vecteur de la promotion des adolescentes, des jeunes filles et de femmes. Kellou est un magazine qui permet aux différentes associations et groupement féminins de s’exprimer afin de montrer leurs créativités.


La promotrice, Mme Dakouma Abanguia Mahamat a souligné que son magazine n’est pas un journal de trop dans le paysage médiatique mais qui vient renforcer la lutte pour l’autonomisation de la femme tchadienne, la promotion de jeunes et le développement de la société. Selon elle, la création de ce magazine vient accompagner les efforts déjà consentis en informant, sensibilisant afin de promouvoir les femmes et les jeunes filles.
«Ce magazine se propose donc d’être un moyen de promouvoir les initiatives de femmes, promouvoir les textes juridiques qui favorisent le développement de leurs initiatives et ou qui interdissent les pratiques néfastes à leur épanouissement», a rappelé la promotrice du magazine.
Mme Dakouma Abanguia Mahamat a indiqué que le nom «Kellou» fait la fierté de tous les tchadiens et au-delà de toutes frontières. Kellou représente la femme tchadienne par sa douceur, sa ténacité, dans le travail et sa modestie mais aussi à sa beauté.


Le vice-président de la HAMA M. Ali Djibrine Ali a salué cette initiative entreprise par la fondatrice Mme Dakouma Mahamat avant de souligner que Kellou magazine est une grande tribune pour l’épanouissement et l’autonomisation de la femme, de la fille et de la jeunesse tchadienne. A cet effet, M. Ali Djibrine Ali n’a pas manqué de rappeler que la HAMA n’est pas le gendarme absolu du journalisme comme les prétendent certaines mauvaises langues. Non, loin de là, dit-il, au-delà de sa fonction de régulateur, la HAMA garantit la liberté de la presse, l’expression du pluralisme, l’accès et l’exercice de la profession, la mise à jour de compétences avec de formations régulières et continues. Bref, la HAMA milite pour la promotion de médias au #Tchad.
«J’espère que votre bébé qui vient de naitre puisse procurer aux publics des analyses objectives et neutres. Des informations diverses, variées et spécialisées non seulement pour la femme mais à l’ensemble de la population tchadienne », a lancé le vice-président la HAMA.
M. Ali Djibrine Ali a profité de cette occasion pour exhorter l’ensemble de journalistes de médias à respecter strictement les termes de lois et autres textes qui régissent le métier de journalisme au #Tchad.

MSK. Lawandji