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Tchad : 6000 diplômés seront intégrés d’ici fin octobre

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Le Ministre d’Etat, Ministre Secrétaire Général de la Présidence de la République, M. Kalzeubé Payimi Deubet, a présidé cet après-midi, la réunion de la Commission spéciale  pour le recrutement (CSR) de 20.000 diplômés à la Fonction publique. Un point de l’état d’avancement des travaux est fait à la réunion qui s’est déroulée au Palais présidentiel.

A la dernière réunion du 17 septembre dernier, le président de la Commission spéciale pour le recrutement (CSR) de 20.000 diplômés à la Fonction publique, le Ministre d’Etat, Ministre Secrétaire Général de la Présidence de la République, M. Kalzeubé Payimi Deubet avait instruit la Cellule technique d’appui à la Commission spéciale pour le recrutement, d’accélérer la cadence à l’effet de recruter 5.000 diplômés à la Fonction publique avant la fin du mois de septembre.

De l’évaluation faite ce 09 octobre 2020, il ressort que moins de 500 diplômés sont effectivement intégrés. Le Ministre d’Etat, Ministre Secrétaire Général de la Présidence de la République, M. Kalzeubé Payimi Deubet pique une vive colère. Il donne la parole à quelques membres du gouvernement à l’effet de déceler le goulot d’étranglement. Le tour de table terminé, le Ministre d’Etat Kalzeubé Payimi Deubet, tranche : « 6.000 diplômés doivent être intégrés avant la fin du mois d’octobre, instruction du Maréchal du Tchad IDRISS DEBY ITNO ».

Le Ministre d’Etat exhorte le Ministre de la Fonction Publique, de l’Emploi et du Dialogue Social, M. Ali Mbodou Mbodoumi à mettre les bouchées doubles à l’effet d’intégrer très rapidement les lauréats des Ecoles de l’Agriculture de Bâ-Illi, ceux de l’INJS, de l’ENASS, les postulants au Ministère de la Femme, etc.

Le volet intégration terminé, en sa qualité de président du Haut comité technique tripartite chargé de poursuivre les discussions sur les points de revendications de la plateforme syndicale revendicative, le Ministre d’Etat, Ministre Secrétaire Général de la Présidence de la République, M. Kalzeubé Payimi Deubet, aborde les points non encore exécutés de l’accord signé le 09 janvier 2020 entre le gouvernement et les partenaires sociaux. Il s’agit du dégel des effets financiers des avancements des agents de l’Etat et du versement des frais de transports. Il ressort des discussions que les deux mesures sont levées et elles seront exécutées incessamment.
 
Enfin, le Ministre d’Etat, Ministre Secrétaire Général de la Présidence de la République, M. Kalzeubé Payimi Deubet et les membres de la Commission spéciale  pour le recrutement de 20.000 diplômés se retrouveront la semaine prochaine pour une autre évaluation.
Par: DGCOM

Politique : Le PAM de l’ONU reçoit le prix Nobel de la paix 2020

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Le comité Nobel norvégien, qui décerne la prestigieuse récompense, avait reçu cette année 318 candidatures, dont une centaine qui concernaient des organisations. Une liste qui va rester secrète pendant cinquante ans.

Après la médecine, la physique, la chimie, et la littérature, la saison des prix Nobel s’est terminée ce vendredi 9 octobre avec l’annonce du lauréat du prix de la paix 2020. C’est la présidente du comité Nobel norvégien Berit Reiss-Andersen qui a annoncé le nom du lauréat devant une assistance très clairsemée, pandémie de Covid-19 oblige, dans la grande salle de l’Institut Nobel à Oslo. Comme pressenti, c’est donc une organisation qui a été distinguée, le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies. Car distinguer une personne reste toujours risqué, comme le montre l’exemple du Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed, lauréat l’année dernière pour avoir mis fin à la guerre avec l’Érythrée,mais contesté aujourd’hui dans son pays où il a annulé les élections générales.

Le PAM est récompensé pour « ses efforts de lutte contre la faim, pour sa contribution à l’amélioration des conditions de paix dans les zones touchées par les conflits et pour avoir joué un rôle moteur dans les efforts visant à empêcher l’utilisation de la faim comme arme de guerre », a déclaré Berit Reiss-Andersen.

Faute de grand favori, Greta Thunberg, l’activiste pour le climat, suédoise comme Alfred Nobel, faisait également partie des personnalités citées comme possibles lauréates. Tout comme la chancelière allemande Angela Merkel, citée pour sa politique d’accueil des migrants. 

Afp

SOCIETE : Cent ménages démunis du quartier Fatata assistés

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Le Gouvernement du Tchad par le biais du sous comité d’assistance aux personnes démunies vole au secours des personnes vulnérables notamment les sinistrés en cette période marquée par les conséquences de la covid-19 et de fortes pluviométries.


Ainsi, l’Office National de Sécurité Alimentaire a remis ce mardi 06 octobre 2020 100 kits au profit de 100 ménages du quartier Fatata, situé dans la commune du 1er arrondissement de la ville de N’Djaména. Ces kits sont composés chacun d’un sac de riz de 50 kg, d’un sac de haricot de 25 kg, d’un bidon d’huile de 10 litres et d’un sac de sucre de 10 kg.


Il est à noter que ce don est l’œuvre du gouvernement en partenariat avec la Banque Islamique de Développement (BID).

Selon le sous comité, la distribution va se poursuivre dans les autres arrondissements de la ville de N’Djaména.

COVID-19 : La BM confirme le ralentissement économique en Afrique subsaharienne

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Plombée par les retombées économiques de la pandémie de COVID-19, la croissance en Afrique subsaharienne devrait chuter à -3,3 % en 2020, entraînant la région dans sa première récession économique en 25 ans, selon la dernière analyse de l’économie régionale Africa’s Pulse : Tracer la voie de la relance économique. La pandémie risque aussi de faire basculer 40 millions d’Africains dans l’extrême pauvreté, effaçant au moins cinq années de progrès dans la lutte contre la pauvreté. 

Avec plus d’un million de cas de COVID-19 déclarés à travers le continent, la pandémie n’apparaît pas encore maîtrisée en Afrique subsaharienne. Certains pays, comme le Sénégal ou Maurice, ont su réagir à temps pour limiter la propagation des infections. Néanmoins, les mesures de confinement efficaces s’accompagnent de coûts très élevés pour l’économie, comme on a pu le constater de par le monde.

« La voie de la relance économique s’annonce longue et difficile, mais elle peut être accélérée, solide et plus inclusive si les pays africains accordent la priorité aux réformes et aux investissements qui permettront de relever le défi de créer davantage d’emplois inclusifs et de meilleure qualité », explique Albert Zeufack, économiste en chef à la Banque mondiale pour l’Afrique.

Au cours du deuxième trimestre 2020, le Nigéria a vu son PIB réel reculer de 6,1 % par rapport à l’année dernière, soit son plus bas niveau depuis plus d’une décennie. Sur la même période, l’Afrique du Sud, sous le coup de mesures strictes de confinement, a vu son PIB réel plonger de 17,1 %. L’Angola, le deuxième pays producteur de pétrole en Afrique subsaharienne après le Nigéria, a vu son économie reculer de 1,8 % au premier trimestre 2020, par rapport à l’année dernière.

Le déclin de la croissance a été particulièrement marqué pour les pays exportateurs de métaux, pour lesquels on s’attend à une contraction du PIB réel de 6 %, reflétant en partie la baisse importante de la production en Afrique du Sud. Tandis que du côté des pays exportateurs de pétrole, après une croissance de 1,5 % en 2019, le PIB réel devrait diminuer de plus de 4 points de pourcentage en 2020, du fait du recul de la croissance en Angola et au Nigéria.

En revanche, les pays dont l’économie ne dépend pas essentiellement des ressources naturelles, ne devraient afficher qu’un recul modéré de leur croissance en 2020. Si l’on s’attend à un ralentissement sensible dans ces pays – comme la Côte d’Ivoire, l’Éthiopie ou le Kenya – la croissance devrait rester positive, du fait de la plus grande diversification de leurs économies. Cependant, les économies dépendantes du tourisme, en particulier le Cabo Verde, Maurice et les Seychelles, ont connu une forte contraction de leur économie, le secteur des services étant fortement affecté par la chute drastique du tourisme international.

Cette année, le ralentissement sensible de l’activité économique devrait coûter au moins 115 millions de dollars de pertes de production à la région. On s’attend à un recul de 6 % du produit intérieur brut par habitant, entraîné notamment par la baisse de la consommation intérieure et de l’investissement, découlant des mesures de confinement mises en place pour ralentir la propagation du coronavirus.

« Bien que la pandémie n’ait pas dit son dernier mot et malgré les incertitudes liées à la résistance et à la propagation du virus, les gouvernements africains ont commencé à mettre en place des réformes et des programmes afin d’appuyer un redressement économique post-COVID-19 inclusif et durable », souligne Hafez Ghanem, vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique de l’Est et australe. « Les pays de la région mettent en œuvre des politiques et des programmes créateurs d’emplois et permettant d’accélérer la transformation économique afin de réduire dès à présent l’impact économique de la pandémie, mais aussi de développer les capacités nécessaires à une future croissance économique inclusive. »

Le rapport Africa’s Pulse indique que la voie de la reprise passe également par des investissements substantiels de la part des pays de la région, ainsi que par l’appui financier de la communauté internationale. Il encourage notamment un programme de réformes audacieux, visant à dégager des marges de manœuvre budgétaires ainsi que des politiques stimulant la création d’emplois. Plusieurs pays, dont l’Afrique du Sud, le Nigéria et l’Éthiopie, ont déjà commencé à mettre en œuvre des réformes attendues dans les secteurs de l’énergie et des télécommunications, sous l’impulsion de la crise actuelle. Par ailleurs 25 % des compagnies africaines ont accéléré leur adoption des technologies numériques et accru leurs investissements dans les solutions numériques. À la mi-septembre, on dénombrait pas moins de 166 mesures de protection sociale déployées à travers 46 pays d’Afrique subsaharienne dont 84 % concernaient l’assistance sociale. Les programmes de protection sociale ont démontré leur rôle crucial dans l’atténuation de l’impact social de la pandémie.

« Alors que la pression exercée par la pandémie sur les économies africaines continue de se faire sentir, il est important pour les décideurs politiques de créer l’infrastructure nécessaire à une reprise rapide de l’économie. », rappelle Ousmane Diagana, vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique de l’Ouest et centrale. « Des politiques solides créent les conditions nécessaires à un redressement durable et inclusif, ainsi qu’à une plus grande résilience aux chocs à venir. »

Le Groupe de la Banque mondiale, l’une des principales sources de financements et de connaissances pour les pays en développement entreprend d’importantes actions afin d’aider rapidement les pays en développement à renforcer leur réponse face à la pandémie. Nous appuyons les interventions de santé publique, œuvrons pour assurer la bonne circulation de produits et d’équipements vitaux, et aidons le secteur privé à maintenir ses opérations et à sauver des emplois. Au cours des 15 prochains mois, le Groupe de la Banque mondiale s’apprête à déployer jusqu’à 160 milliards de dollars pour aider plus de 100 pays à protéger les populations pauvres et vulnérables, à soutenir les entreprises, et à stimuler le redressement économique. Ce montant inclut 50 milliards de dollars de nouvelles ressources de l’Association internationale de développement (IDA) sous forme de dons et de prêts fortement concessionnels. 

Source : BM

Enseignement : L’Ecole de Commerce de Lyon et UAMI N’Djaména désormais partenaires

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L’Université Africaine de Management et de l’Innovation (UAMI) offre désormais l’opportunité aux nouveaux bacheliers et étudiants tchadiens, tout en restant au pays, d’avoir des diplômes de renoms internationaux dans divers domaines, en Communication, Marketing, Qualité, Finances, Achats, Ressources humaines, Commerce International et Gestion.

C’est grâce à l’implantation prochaine d’un campus à N’Djaména au Tchad au sein de l’UAMI d’une filiale de l’Ecole de Commerce de Lyon France au pays du Toumaï.

signature de convention de partenariat


La convention de partenariat signée ce jeudi 1er octobre 2020 en France entre les deux présidents, Sahoulba Gontchomé et Hervé Diaz, permettra aux étudiants de l’UAMI qui souhaitent d’accéder aux diplômes délivrés par l’Ecole de Commerce de Lyon étant au pays.


Cependant, la convention du partenariat fixe les conditions dans lesquelles les deux parties s’engagent à mettre en œuvre leurs compétences ainsi que leurs pédagogies respectives pour permettre aux étudiants de l’UAMI de bénéficier des diplômes de l’ECL, à savoir Bachelors of Business, le diplôme de commerce MBA et le Doctorat.
Avec ce partenariat qui entre dans la vision du président directeur général de l’UAMI, M.

Sahoulba Gontchomé celle d’ouvrir la formation de l’enseignement supérieur tchadien sur le plan international et permettra aux jeunes de décrocher des diplômes reconnus des grandes écoles internationales.


Par cette convention, l’Université Africaine de Management et de l’Innovation fait entrer le Tchad dans le cercle fermé des pays qui ont des campus locaux de formation à distance afin que les étudiants aient de double diplôme de l’Ecole de Commerce de Lyon et celui de l’UAMI au Tchad. HERVÉ Diaz président de l’Ecole de commerce de Lyon sera à N’Djaména le 16 octobre prochain pour renforcer ce partenariat.


Le président Directeur Général de l’UAMI, Sahoulba Gontchomé se félicite de cet accord premier dans le milieu de l’enseignement supérieur tchadien et aussi le résultat de 30 années d’histoire et de parcours qui a commencé depuis octobre 1989 avec la création de l’Institut supérieur de Gestion, pour aboutir en octobre 2019 avec la sortie de la première promotion de l’Université Africaine de Management et de l’Innovation.


Le Président directeur général de l’UAMI déclare que son institution va continuer à œuvrer pour un enseignement de qualité à travers cette convention de partenariat avec l’Ecole de Commerce de Lyon.
« Avec cette dynamique que nous voulons insuffler à nos jeunes étudiants, cette dynamique est celle de l’auto-responsabilité, de l’auto-emploi ou pour être plus ambitieux de l’autoentrepreneur », se félicite, Sahoulba Gontchomé.


Classé 3ème parmi les meilleurs Instituts Universitaires privés du Tchad, leader de la formation supérieure au Tchad avec plus de 15 000 diplômés formés en 30 ans d’existence. Fondé en 1989 sous l’appellation de l’Institut Supérieur de Gestion et transformé en Université Africaine de Management et de l’Innovation.

Tchad : Nomination des Présidents des Conseils d’Administration

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Par Décret N°2007/PR/2020 du 07 Octobre 2020, les personnalités dont les noms suivent sont nommées Présidents des Conseils d’Administration des Entités ci-après:

Agence d’Entretien Routier (AGER):
• Président: PAHIMI PADACKET ALBERT

Conseil des Chargeurs:
• Président: MAHAMAT ALLAHOU TAHER

Agence pour la Promotion des Initiatives Communautaires en Éducation (APICED):
• Président: NGARMADJAL GAMI

Agence de Développement des Technologies de l’Information et de la Communication (ADETIC):
• Président: MAHAMAT AWARE, en remplacement de JEAN BERNARD PADARÉ

Agence Nationale d’Électricité ( SNE):
• Président: ISSA ALI TAHER, en remplacement de HASSAN TIDEI

Agence pour le Développement de l’Électrification Rurale et la Maîtrise de l’Energie ( ADERM):
• Président: SEID IDRISS, en remplacement de SALEH BOURMA.

Diplomatie : L’ambassadeur du Tchad au Mali reçu par le Président de transition

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L’ambassadeur du Tchad en poste à Bamako, Mme Kalzeubé Neldikingar MADJIMTA, a été reçue en audience ce mardi 6 octobre 2020, par Bah Ndaw, Président de transition du Mali.


La diplomate tchadienne a réaffirmé l’engagement du Tchad à soutenir et accompagner le Mali dans cette phase de transition.


S. E. Mme Kalzeubé Neldikingar Madjimta est la première diplomate étrangère à être reçue par les nouvelles autorités maliennes après la levée de l’embargo de la CEDEAO ce 06 octobre 2020.

Afrique : La Cedeao lève les sanctions contre le Mali

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La Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao) a procédé, lundi 5 octobre, à la levée des sanctions prononcées contre le Mali suite au coup d’Etat du 18 août dernier.

C’est un grand ouf de soulagement ! Isolé depuis le renversement par l’armée du président Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), l’ancien Soudan français peut enfin se remettre en marche. Puisque dans une Déclaration des chefs d’Etat et de gouvernement, la Cedeao a décidé de « la levée des sanctions » dont la fermeture des frontières terrestres et aériennes avec les autres pays de l’espace communautaire mais aussi la suspension des flux financiers.

Par conséquent, l’organisation régionale appelle « tous les partenaires bilatéraux et multilatéraux à soutenir » ce vaste pays en proie à la menace jihadiste. La Cedeao a motivé sa décision par les « avancées notables vers la normalisation constitutionnelle ».

En effet, les présidents ouest-africains avaient exigé, entre autres, la limitation des responsabilités du vice-président de la transition, le retrait des dispositions lui permettant de remplacer le président de la transition et la précision de la durée de la période transitoire.

Dans ce document signé par le chef de l’Etat ghanéen, Nana Akufo-Addo, par ailleurs président en exercice de la Cedeao, l’institution régionale a indiqué avoir reçu, le 1er octobre dernier, la Charte de la transition qui « prend en compte » ses recommandations.

De ce fait, les chefs d’Etat et de gouvernement « ont pris acte » de l’investiture de Bah N’daw en tant que président de la transition et de la nomination de Moctar Ouane comme Premier ministre.

Toutefois, la Cedeao a demandé aux autorités de la transition « de mettre en œuvre rapidement les autres décisions du Sommet d’Accra (Ghana), en particulier la libération de tous les officiels militaires et civils arrêtés depuis le 18 août 2020 et la dissolution du CNSP (Conseil National pour le Salut du Peuple) ».

Apa

FINANCES: les tendances du dernier trimestre 2020 analysées

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La réunion consacrée aux régies financières s’est tenue ce matin au Palais présidentiel sous la direction du Ministre d’Etat, Ministre Secrétaire général de la Présidence de la République, M. Kalzeubé Payimi Deubet. La rencontre a permis de passer en revue les performances des services générateurs de revenus de l’Etat au troisième trimestre de l’année.

A chaque réunion sur les régies financières ses chiffres. Ceux de ce mardi 06 octobre 2020 ont pris en compte les trois trimestres écoulés, soit fin septembre 2020. La situation examinée au même titre que les perspectives pour le reste de l’année, a permis d’apprécier la performance en terme de dépenses et de recettes. Les tendances qui se dégagent font dire au Ministre des Finances et du Budget, M. Tahir Hamid Nguilin que des efforts restent à fournir.

Dépasser 100% des réalisations est un objectif ambitieux mais pas impossible d’après le Ministre Tahir Hamid Nguilin. La timide reprise des activités économiques après le choc créé par le Covid-19 peut-être favorable pour une telle performance, à condition que tout le monde s’y mette sérieusement.

Au-delà de la performance, les principes sacro-saints d’une bonne gestion des fonds publics ont été rappelés par le Ministre d’Etat, Ministre Secrétaire Général de la Présidence de la République, M. Kalzeubé Payimi Deubet, qui a appelé chaque responsable à l’obligation de résultat permettant de maximiser les moyens sans lesquels il sera difficile pour le Gouvernement de répondre aux aspirations légitimes de la population.
Par: DGCOM

FOOTBALL : La double licence de Bokhit pénalise Foullah Edifice

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La commission d’homologation des litiges et de disciplines de la Ligue Nationale de football a suspendu ce mardi 6 octobre 2020 l’attaquant du club Foullah Edifice de N’Djaména, Bokhit Djibrine pour toutes les activités footballistiques organisées par la FTFA d’une durée de trois mois. Ainsi que, le retrait de 15 points de Foullah Edifice au championnat national avec conséquence Foullah se retrouve dernier de sa poule avec zéro point.

La commission reproche à Foullah d’avoir aligné son joueur Bokhit durant les 5 matchs alors qu’il détenait « double licence » d’un club Normand en France et de Foullah dans une même saison allant de 2019-2020 pour son club d’origine Foullah et 2020-2021 pour le club français.


Plusieurs documents remis à cette occasion à la presse, une licence 2020-2021 n°25477650846 est effectivement émise pour Bokhit Djibrine par la Fédération Française de Football est enregistrée le 04 juillet 2020. La demande de transfert du joueur Bokhit a été validée en ligne par son club au détriment au club Normand par trois personnes qui représentent entre autres, Foullah Edifice, le Normand de la France et la Fédération Tchadienne de Football. Un certificat international de transfert est enregistré sur la base de données de la Fédération Internationale de Football Association.


Le président commission d’homologations, des litiges et de disciplines, Issakha Ngartoloum s’est dit surpris que le club Foullah Edifice aligné durant toute la compétition Bokhit alors qu’une notification à été remise à Foullah que Bokhit détient deux licences chose impossible pour qu’un joueur d’avoir une licence pour une saison sportive sans une libération d’un club à un autre. « Après les réserves portées par les clubs, toutes les victoires de Foullah et les points vont être accordés à ses adversaires par forfait conformément à l’article 55 du statut et règlement intérieur de la FTFA » justifie Issakha Ngartoloum.
Selon le président de la commission Foullah Edifice de N’Djaména peut faire appel auprès de la commission s’il estime qu’il est lésé de ses droits.