mercredi, janvier 15, 2025
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Inondations : le député Ousman Cherif assiste les sinistres de Goudji Hamaral-Goz

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Le député du parti PLD M. Ousman Cherif Khamdjan a fait ce mercredi, 30 septembre 2020, un don de vivres à une vingtaine de ménages sinistrés de l’inondation de sa circonscription au quartier Goudji Hamaral-Goz dans la commune du 2ème arrondissement de la ville de N’Djaména.

Le chef de carré N°14 dudit quartier M. Alphonse Bateigné a remercié le député pour son geste humanitaire, avant d’ajouter que ce don de vivres leur permettra de subvenir de leurs besoins pendant quelques jours.


Pour sa part, le député Ousmane Cherif Khamdjan a indiqué que même si ce geste est insignifiant, il est de cœur et esprit pour partager leurs souffrances causées par cette forte pluie, qui d’après lui, a ravagé leurs toits d’habitation.

Toutefois, souligne-t-il, qu’il reste disposer à leurs attentes et doléances afin de porter au plus haut niveau afin que ce genre de situation ne se répète pas dans sa circonscription.
Il faut signaler que ce kit alimentaire offert par Ousmane Cherif Khamdjan est composé d’un sac du riz, d’un paquet de sucre, d’huile et cache-nez.
MSK. Lawandji

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Année scolaire 2019-2020 : Reprise des activités pédagogiques

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Le ministre de l’éducation nationale et de la promotion civique Aboubakar Assidick Tchoroma a lancé officiellement la reprise des activités scolaires pour les classes intermédiaires au Lycée Ibrahim Mahamat Itno de Farcha dans le 1er arrondissement de la ville de N’Djamena.


Le proviseur du Lycée Ibrahim Mahamat Itno Littéraire M. Mahamat Seid Timan s’est félicité de cette reprise de cours dans les établissements. Il a par ailleurs expliqué que la reprise de cours est la suite de la rentrée scolaire 2019-2020. Il a rappelé les enseignants-élèves et parents que cette reprise prévue pour aujourd’hui concerne que les classes intermédiaires pour finaliser le programme de l’année 2019-2020, qui a été perturbé par la COVID-19. En outre, le proviseur a souligné que le ministère de l’éducation a fait une note circulaire dans laquelle, il est précisé que la reprise se fera par vague.
D’après lui, pour éviter la propagation de la COVID-19, la reprise se fait comme suit. Aujourd’hui, jeudi 1er octobre 2020, ces sont les élèves de la classe de seconde, demain vendredi 2 octobre ce le tour des élèves de la classe première. Selon M. Mahamat Seid Timan cette stratégie consiste à lutter contre la propagation du COVID-19 dans les établissements scolaires.


Pour sa part, le ministre Aboubakar Assidick Tchoroma a indiqué que l’année été bouleversée par la pandémie de coronavirus avant d’insister sur le respect strict de mesures barrières édictées par les autorités du pays afin d’éviter la contamination et de lutter contre la propagation de la COVID-19 au Tchad. Il invite les élèves à se laver leurs mains, à respecter la distanciation et de porter leurs cache-nez afin de finaliser l’année dans de très bonnes conditions sanitaires.
MSK. Lawandji

ELECTIONS : La révision du fichier électoral est lancée

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Les opérations de la révision du fichier électoral biométrique ont été lancées ce jeudi 1er octobre 2020 au centre Don Bosco de N’Djaména par le président de la commission nationale électorale indépendante (CENI) en présence de plusieurs membres du gouvernement, de la CENI et autres invités.


1 571 kits d’enrôlements ont été mobilisés pour cette opération qui durera 20 jours (elle prend fin le 20 octobre) dans les 23 provinces du Tchad. La commission nationale électorale indépendante a retenu 1 902 centres de recensement d’enrôlement pour une population cible évaluée à quelques 2 millions et 1571 agents de soutien sanitaire.


Cette inscription sur la liste électorale concerne, des nouveaux majeurs ayant atteint leur majorité après l’enrôlement de 2015, ceux qui auront l’âge de la majorité les jours des élections et les personnes qui n’ont jamais été enrôlées étant majeur en 2015 et résidant au Tchad. Les tchadiens résident en 2015 à l’étranger qui ont regagné le pays et les personnes omises sur la liste électorale de 2015 et ne disposant pas la carte électeur.


La révision du fichier électoral biométrique permet aussi aux citoyens ayant changés leur lieu de résidence d’une commune ou à l’autre ou d’un département ou d’une province de se présenter avec leur résidence actuelle muni de leur ancienne carte d’électeur dans leur nouveau lieu de résidence.


Selon le président de la CENI, Dr. Kodi Mahamat Bam une attention particulière sera accordée aux personnes nomades qui peuvent s’inscrire dans n’importe quelle circonscription électorale et bénéficient d’un marqueur présent dans l’enregistrement. La prise en charge de personne ayant de donnée incomplète sur la base de donnée de 2015 comme les empreintes digitales et autres seront contactés ou par l’affichage de la liste dans les centres d’enrôlement avec la mention information à compléter.

Santé : 3249 cas de paludisme enregistrés dont 144 décès à N’Djaména

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Le ministre de la santé publique et de la solidarité nationale Dr Abdoulaye Sabre Fadoul a rencontré ce mercredi 30 septembre 2020 les responsables des Hôpitaux Nationaux de N’Djamena.

Cette rencontre intervient en cette période de pic des cas du paludisme. Selon les rapports des différents directeurs des hôpitaux nationaux, leurs formations sanitaires sont débordées par une affluence des malades. L’une des causes de l’affluence des malades dans les services des hôpitaux nationaux de la ville de N’Djaména est que la plupart des malades ne se rendent pas dans les centres de santé qui sont censés traiter les cas simples. Ce sont les cas compliqués qui doivent être orientés dans les grandes formations sanitaires. La prévalence de cette année est plus élevée que l’année dernière. Cela est dû à la forte pluviométrie qu’enregistre le pays. Au centre hospitalier universitaire mère enfant, pour l’année en cours 3249 cas du paludisme dont 968 cas grave et 144 décès sont enregistrés.

Le paludisme est l’une des premières causes de consultations et d’hospitalisation dans les structures sanitaires du Pays. La lutte contre le paludisme ne se résume pas seulement sur la distribution des moustiquaires imprégnées d’insecticides de longue durée. Ainsi il est préférable de revoir d’autres stratégies plus efficaces pour faire face à cette maladie a rappelé Dr Abdoulaye Sabre Fadoul.

Le ministre a instruit le coordonnateur du programme national de lutte contre le paludisme de faire actualiser l’ancien plan de lutte pour circonscrire la maladie. Le ministre a insisté sur la communication et la sensibilisation à travers les canaux indiqués pour faire passer le message de conscientisation.

Les malades souffrant du paludisme doivent passer d’abord par les centres de santé conseille le chef du département de la santé publique et de la solidarité nationale. Il a souligné que ces structures de santé sont dotées des médicaments pour la gratuite de prise en charge du paludisme.

M.S.P

ENERGIE : La SNE s’active à régler les problèmes de coupures de courant

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Le directeur général de la Société Nationale d’Electricité, Mahamat Adoum Ismail promet lors d’un point de presse tenu ce mercredi 30 septembre 2020 que la lumière brillera dans les foyers, KoranDja, et le délestage ne sera qu’un mauvais lointain souvenir.


Il informe que le dernier trimestre 2020 et l’année 2021 seront consacrés aux grands travaux des infrastructures électriques. Progressivement, mais indubitablement, la SNE redorera son blason et regagnera, je l’espère, la confiance de sa clientèle, s’engage Mahamat Adoum Ismail qui reconnait que les citoyens et usagers de la Société Nationale dElectricité de la capitale et en provinces font face depuis quelques semaines à des délestages intempestifs dus principalement à des difficultés d’ordres technique, financier et matériel.
« Il est important de savoir que pour la ville de N’Djaména, qui représente plus de 95% de l’activité de la SNE, 7 groupes sur 14 sont en arrêt. Les 7 restants et les 3 opérateurs privés produisent 70 MW soit une énergie livrée de 1680 000 KWH par jour pour des besoins de la ville estimée à 2 400 000 KWH, la ville n’est alors couverte qu’à 70% », déclare-t-il.
« Ce déficit est aggravé, quand surviennent des défauts et des pannes dus à la vétusté des lignes de distribution et à un réseau de transport surchargé », souligne le directeur général de la SNE. M. Mahamat Adoum Ismail expliquant que la situation des centrales des villes de l’intérieur du pays est également désastreuse et l’état délétère dans lequel se trouve aujourd’hui l’entreprise découle principalement de ses finances déficitaires qui, elles-mêmes, sont la conséquence du non-paiement des factures par les clients.
« Un tiers de personnes s’alimentent de façon illégale. Pire, des fraudes organisées se généralisent au détriment non seulement de l’équilibre économique générale de l’entreprise, mais aussi, et très souvent du danger que présente le risque d’électrocution surtout en période de pluie et d’humidité », déplore-t-il.
Le directeur général de la Société Nationale d’Electricité annonce entre autres pistes de solutions, la réparation, la réhabilitation des groupes pouvant porter la production totale à 121 MW auxquels vont sajouter le 32 MW de la Centrale DENALI en construction à Djarmaya soit au total 153 MW pour un pic estimé en Mai 2021 de 130 MW dégageant ainsi un excédent de 23 MW.
Ainsi, au renouvellement et au renforcement des Sous-stations de Gassi et de Lamadji augmentant la capacité actuelle de transit limitée de 135 MW à 175 MW pouvant accueillir les producteurs privés d’énergie renouvelable qui se bousculent au portillon, mais ne peuvent s’y raccorder faute de capacité. A la densification et à la modernisation du réseau de distribution via la création de 8 nouveaux départs allongeant l’existant de 55 MW en moyenne tension et 30 KW en basse tension, soit une couverture totale de 1400 Km desservis par 563 postes dont 25 nouveaux postes.
Mahamat Adoum Ismail se félicite de son passage en 2017 en passant 28 mois et pendant cette période l’interruption d’électricité était rare et en 2017 pendant toute l’année, il n’ya jamais eu de blackout (coupure générale).

Banque mondiale » le Tchad doit investir davantage dans la santé et l’éducation et protéger les plus pauvres face à l’impact de la pandémie de coronavirus »

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Deux nouveaux rapports publiés par la Banque mondiale analysent l’impact de la pandémie de coronavirus (COVID-19) sur les perspectives économiques du Tchad et les marges de manœuvre budgétaires que le gouvernement pourrait utiliser pour répondre efficacement à cette crise.

« Ces rapports visent à mieux orienter les décisions des responsables politiques dans la rude bataille qu’ils livrent contre les effets économiques et financiers de la pandémie de COVID-19 », explique Rasit Pertev, Responsable des opérations de la Banque mondiale pour le Tchad. « Dans un contexte budgétaire difficile qui complique les arbitrages, le gouvernement doit maintenir les équilibres macroéconomiques tout en tenant compte des besoins des secteurs sociaux afin de préserver le bien-être des citoyens les plus pauvres et vulnérables. »

Selon le premier rapport, Tchad : Note sur la situation de l’économie et de la pauvreté au temps de la COVID-19, la pandémie a assombri les perspectives macroéconomiques du Tchad pour les deux prochaines années. Même si le nombre de cas dépistés reste relativement faible, les conséquences économiques de la pandémie devraient entraîner une récession en 2020. Représentant environ 90 % des exportations du pays et 40 % des recettes publiques, le secteur pétrolier a été sévèrement touché. La baisse des exportations, le ralentissement des investissements directs étrangers, la fermeture des frontières et les mesures de distanciation sociale devraient engendrer une contraction de l’économie de l’ordre de 0,2 % (par rapport à un taux de croissance de 4,8 % prévu avant la pandémie). Une situation qui devrait creuser le déficit du compte courant de la balance des paiements, diminuer les recettes budgétaires et les dépenses publiques et poursuivre l’accumulation des arriérés. Produits en mai 2020, ces chiffres seront actualisés au cours des prochaines semaines, lors des Assemblées annuelles de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international qui se tiendront virtuellement du 12 au 18 octobre 2020.

L’étude alerte également sur la fragilité du contexte socioéconomique : les conflits régionaux et la fermeture prolongée des frontières risquent de détériorer la situation et affecter fortement les populations les plus pauvres et vulnérables. Tout en reconnaissant que le taux de pauvreté a diminué au cours des quinze dernières années, l’étude souligne que son niveau reste particulièrement élevé, 42,3 % de la population vivant en dessous du seuil national de pauvreté en 2019 (soit environ 6,5 millions de personnes).

Afin d’atténuer les effets négatifs de la pandémie mondiale au Tchad, les autorités ont annoncé des mesures économiques et sociales importantes de soutien à l’économie. « Les autorités ont la rude tâche de continuer à soutenir les ménages précaires et les entreprises privées qui ont été les plus touchées tout en continuant à investir dans des secteurs et infrastructures clés pour préparer l’avenir », souligne Fulbert Tchana Tchana, économiste principal de la Banque mondiale pour le Tchad et coordonnateur de l’étude.

Le second rapport, intitulé Tchad 2019 : Analyse de la dépense publique, marge budgétaire pour des dépenses productives dans les secteurs sociaux s’inquiète des faibles niveaux de dépenses sociales dans le pays et souligne l’importance d’investir dans le capital humain pour améliorer les indicateurs sociaux et de développement humain. Selon l’analyse, les dépenses publiques affectées aux secteurs de l’éducation et de la santé sont extrêmement faibles et inefficaces. Entre 2013 et 2018, les dépenses publiques consacrées à l’éducation ont reculé de 3,2 % à 2,2 % du PIB. Par ailleurs, les dépenses de santé (en pourcentage du total des dépenses) représentaient 4,8 % du PIB en 2018, soit plus de dix points de pourcentage de moins que l’objectif de 15 % convenu par les pays de l’Union africaine. De fait, le Tchad affiche le plus faible indice de capital humain au monde (0,29). Pour les auteurs du rapport, les autorités tchadiennes gagneraient à redoubler d’efforts pour réorienter durablement leur politique budgétaire afin d’atteindre les objectifs du Plan national de développement.

BM

Éducation :une solution idoine en vue de la reprise de cours à l’UNABA

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Le ministre de la santé publique et de la solidarité nationale Dr Abdoulaye Sabre Fadoul et son collègue de l’enseignement supérieur Dr David Houdeingar ont co-présidé ce mardi 29 septembre 2020 une rencontre relative au blocage des activités de la faculté de la médecine d’ Abéché.
Depuis plusieurs mois pour des raisons diverses, la formation théorique et pratique des étudiants de la faculté de médecine d’Abéché est interrompue. C’est pour examiner les maux qui minent cette faculté que les deux ministres ont convoqué cette importante rencontre regroupant les responsables des facultés de médecine d’Abéché, de Ndjamena, les directeurs généraux des CHU de ces dernières, et le délégué provincial sanitaire du Ouaddaï.

Sur instruction du Marechal du Tchad Idriss Deby Itno, les deux ministères affecteront des enseignants, appuieront la faculté avec des matériels médicaux techniques pour le laboratoire afin de renforcer le plateau technique du centre hospitalier universitaire provincial d’abéché pour permettre aux étudiants de parachever la phase pratique. Les étudiants de la cinquième et sixième année qui sont bloqués pendant trois ans, seront transférés à la faculté de médecine de N’Djamena pour la continuité de leur cursus académique.

MPS

Tchad : Ahmat Khazali Acyl est nommé PCA de la CBT

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Par Décret N°1964/PR/2020, du 29 Septembre 2020 Monsieur AHMAT KHAZALI ACYL , actuel directeur de la Caisse nationale de prévoyance sociale (CNPS) est nommé Président du Conseil d’Administration de la Commercial Banque Tchad (CBT) .

En remplacement de Monsieur ISSA MAHAMAT ABDELMAMOUT, appelé à d’autres fonctions.

Société : Vers la signature d’un pacte social triennal

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Le Haut comité technique tripartite s’est réuni ce mardi 29 septembre 2020, au Palais Présidentiel. La séance est dirigée par le président dudit Comité, le Ministre d’Etat, Ministre Secrétaire Général de la Présidence de la République, M. Kalzeubé Payimi Deubet.

« Nous avons échangé sur  deux points essentiels notamment, l’application des dispositions  des termes de l’accord signé entre le gouvernement et les partenaires sociaux et l’état d’avancement de l’élaboration du Pacte social triennal. Au niveau du premier point, nous avons suffisamment discuté sur les difficultés rencontrées et des instructions y afférentes ont été données pour l’application des dispositions du protocole d’accord signé entre le gouvernement et les partenaires sociaux », confie le ministre de la Fonction publique, du travail et du dialogue social, M. Ali Mbodou Mboudoumi au sortir de la rencontre.
 
Pour rappel, le  09 janvier 2020, le gouvernement et les partenaires sociaux sous l’implication personnelle du Chef de l’Etat IDRISS DEBY ITNO ont convenu de la signature d’un pacte social triennal. Interrogé sur la question, le ministre de la Fonction publique, du travail et du dialogue social, M. Ali Mbodou Mboudoumi déclare que « le projet évolue très positivement et très bientôt, le Pacte triennal verra le jour ».

Dg:com