jeudi, janvier 16, 2025
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COVID 19-Tchad : recrudescence de cas la semaine passée

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Le coronavirus fait de la résistance en dépit de l’arsenal de guerre déployé par le gouvernement. La semaine passée a été éprouvante au regard des nouveaux cas enregistrés. Réuni autour du ministre des Affaires Etrangères, de l’Intégration Africaine et des Tchadiens de l’Etrangers, Amine Abba Sidick, le comité de gestion de crise sanitaire, après avoir analysé la situation épidémiologique s’est longuement attardé sur les causes de la recrudescence de la maladie. Il ressort des explications données par la coordination nationale de riposte sanitaire que  c’est le relâchement par la population dans l’observation des mesures barrières et les prescriptions gouvernementales relatives à la lutte contre cette maladie qui est la cause principale.

Le comité attire une fois de plus l’attention de la population contre cette négligence coupable dont les conséquences seront dommageables pour tous. Mais pour éviter d’en arriver là, il exhorte la population au sens civique et au respect des prescriptions gouvernementales relatives à la lutte contre cette pandémie, toujours en vigueur. Le sens civique, l’amour de soi et du prochain,  a-t-on insisté, commandent, dans ce contexte de coronavirus, au respect de la distanciation sociale et au bannissement de certaines habitudes culturelles qui entourent les retrouvailles.

Dg:com

Mahamat Bichara : « La situation sociale est intenable cette année »

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La situation sociale conjecturale, les inondations dans certains quartiers de la ville de N’Djaména, l’enclavement des certaines provinces du pays dues à l’inaccessibilité de routes coupées par les eaux de pluie, l’aide sociale apportée par l’Etat aux sinistrés des catastrophes naturelles, le calendrier scolaire, sont entre autres des sujets abordés avec le président national du parti Alliance Socialiste (AS) M. Mahamat Bichara, dans un entretien avec votre journal.

Merci d’avoir accepté notre invitation, vous en tant que premier responsable du parti Alliance Socialiste au Tchad (AS) qu’elle lecture faites vous de la situation sociale ?


Merci beaucoup. La situation sociale au Tchad est vraiment intenable, en ce sens que nous sommes en train de traverser une situation de crise due à l’épidémie de COVID-19. Que pendant cette situation, tout était à l’arrêt. Le service, le commerce etc. donc, face à cette situation, y’a de laisser pour compte. Or il n y en pas eu des mesures d’accompagnement pour ces personnes. Donc qu’est-ce qu’il faut faire ? Les mesures d’accompagnement qui devraient venir de l’Etat n’ont pas été suivies. Elles ont été annoncées mais rien ne fait. On a vu de pays comme en France, l’Etat a pris la charge totalement les salaires pendant la période de confinement. Or ici, au Tchad il n’en est rien. Suite à cette situation, il faut ajouter des inondations qui sont venues avec leurs lots de sinistrés. Tous ces sinistrés là, il fallait les prendre en compte, trouver de quoi les héberger puissent quils ont tous perdu. Il faut aussi les accompagner dans l’assistance alimentaire et nutritionnelle. Et tout cela na été suivi d’effet, ce qui fait la situation sociale est intenable pour cette année. Je pense qu’au moins avec la sortie de la saison de pluie on espère une très bonne récolte pour que les populations tchadiennes puissent subvenir à leurs besoins.


Vous avez qualifié la situation d’intenable, alors quelle solution proposez-vous ?


Il faut absolument décréter l’état d’urgence, ça ne coûte rien. Un Etat doit s’assumer et en vertu de ses prorogatifs de puissance publique, il doit mobiliser tous les moyens afin d’évacuer d’abord les eaux en dehors du périmètre urbain. On peut mobiliser tous les engins de travaux publics qui sont là. C’est une urgence, on ne peut pas revenir chaque année dire que c’est ça. Il faut aussi tracer les rues. Trouver des routes principales pour que les citoyens puissent circuler. Ça c’est qu’il faut faire en urgence, et ça ne doit pas attendre. Maintenant à la longue, il faut parler d’un plan d’action. Il faut regarder le système de drainage des eaux de la ville de N’Djaména qui n’obéit à aucune règle. Il faut avoir des ouvrages qui puissent permettre de drainer les eaux en dehors de la ville. Aujourd’hui, les eaux sont stagnantes avec tous ses cortèges de maladies qui se suivent. Cela doit cesser. On ne doit pas tâtonner. Nous sommes dans une ville moderne. Il faut qu’on commence par assainir la ville. «Une ville sans assainissement, n’est pas une ville. C’est une bidon ville».


Aux sinistrés des inondations, le gouvernement a distribué des vivres, que pensez-vous de cette action humanitaire ?


Les choses ne se sont pas passées dans les règles de l’art. Une fois qu’on a identifie les victimes, c’est facile maintenant de partager. Les vivres ne sont pas partagés dans un mécanisme de contrôle, donc vous remarquez que le plus souvent c’est ceux qui viennent partager là qui se partagent d’abord avant de donner aux sinistrés et enfin de compte les vrais sinistrés n’ont pas toujours eu quelques choses. En réalité personne n’a eu quelques choses. C’est normal que les citoyens puissent attendre l’assistance de l’Etat. C’est leur droit, mais que cette assistance parvienne exactement aux bénéficiaires, mais cela ne puisse pas servir à ceux qui sont payés pour partager cette aide.


Quelles solutions proposeriez-vous face à tous ces manquements ?


La première de chose, il faut qu’on soit conséquent avec nous même. On ne doit pas gouverner un pays en faisant de la navigation à vue. Il faut toujours bâtir de stratégie solide afin de sortir le pays de cette situation. On est tout le temps en dernier déclassement selon l’indice humain de développement, mais que cela puisse nous interpeler. Il faut mettre en oeuvre la stratégie nationale de protection sociale. On a de pauvres, on est un pays très pauvre. La première de chose, il faut qu’on se dise comment on va sortir ces pauvres là de la pauvreté ? A commencer d’abord par cela. Maintenant, il y a deux choses. Y a ceux qu’on peut les sortir à travers une assistance et que cette assistance puisse les amener vers les emplois productifs. On ne peut pas continuer éternellement à assister les gens. On les assiste afin qu’ils sortent de la vulnérabilité et qu’ils puissent produire et eux aussi puissent aider les autres à sortir de vulnérabilité. Une fois qu’ils produisent donc on a rendu un grand service à la Nation. Et au fur et à mesure il faut récupérer faire sortir les gens de la pauvreté de cette façon. Y a une stratégie bien élaborée maintenant pour la mise en oeuvre, tout un problème parce qu’on n’a pas de volonté politique pour mettre en oeuvre la stratégie nationale de protection sociale. Et ce vraiment dommage qu’on puisse faire de la navigation à vue, donc la solidarité nationale en dépend de notre réaction, de notre promptitude à mettre en uvre cette stratégie.


La rentrée scolaire s’approche, mais la plupart des établissements de la ville de N’Djaména se trouvent encore dans l’eau. Comment faire pour que la rentrée scolaire soit effective?


Ça aussi c’est autre une paire de manche. Aujourd’hui, les établissements sont occupés par des sinistrés des inondations, s’ils ne sont pas eux-mêmes inondés. À cela, il faut ajouter les établissements dans nos villages qui sont pratiquement dans les structures qui ne sont pas du tout durable. S’il faut être dans une école en secco ce n’est pas en mois d’octobre que vous pouvez commencer les cours. Il fallait trouver de pailles pour couper afin de venir faire le secco. Or jusqu’à présent il continue à pleuvoir. Je pense qu’il fallait réviser le planning scolaire. Il faut qu’on se fasse violence. Cette année, on na pas fait une année normale, alors le programme il faut le doser. Même s’il faut faire de journées continues il faut le faire de telle sorte que le premier trimestre soit consacré à la révision de l’année écoulée et on entame les cours de trimestre suivant cela permet quand même de relever le niveau de nos progénitures.


Entretien réalisé par MSK. Lawandji

BAC 2020 : La seconde session des épreuves écrites a lieu ce jeudi

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Les 19 443 candidats déclarés admissibles toutes séries confondues vont composer ce jeudi 17 septembre 2020 la seconde série des épreuves écrites du baccalauréat dans 50 centres de composition sur l’ensemble du territoire national.

A cet effet, les candidats en série littéraire et scientifique auront trois matières et ceux des séries techniques ont quatre matières à composer en une seule journée de ce jeudi.

Le jury rappelle aux candidats au respect du programme en tenant compte des mesures barrières édictées par le gouvernement pour barrer la route à la Covid-19. Il rassure que tout est fin prêt pour le démarrage des épreuves de la session écrite. Le président du jury Pr. Bianzeubé Tikiri informe que la majorité des présidents des centres est déjà sur place dans les provinces y compris celui de Bardaî, du Haraze-Mangué et cde Faya. Il poursuit qu’en ce moment ils sont en réunion avec les différents acteurs impliqués dans l’organisation du bac pour voir comment lancer les épreuves demain jeudi à 8 heures. « Nous avons donné de consignes aux présidents de centres de tout faire pour mettre pas plus de 25 candidats par salle, de respecter la distance d’un mètre et le port des masques est obligatoire pour les candidats afin de respecter les consignes données dans le cadre de la maladie à Coronavirus », a déclaré, le président du jury Pr. Bianzeubé Tikiri. Selon lui, les candidats peuvent être déplacés dans un autre centre mais ils gardent toujours leurs numéros de tables d’origines. « Ils ont franchi une étape et ils sont à un pas de réussite je leur conseille d’éviter la tricherie, la facilité en utilisant les balistiques ou les téléphones qui peuvent compromettre leur avenir », rappelle, Pr. Bianzeubé Tikiri président du jury bac 2020.

ÉDUCATION : Le CNOU désinfecte les bus des étudiants

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En prélude à la reprise des cours dans les universités et instituts universitaires, le Centre National des Œuvres Universitaires (CNOU) a procédé cet après-midi, à la pulvérisation de ses 23 bus dont 17 en bon état stationnés au parc d’Ardepdjoumal. Les airs de restauration ont été également désinfectés notamment ceux de Toukra, Ardepdjoumal et Farcha.


Cette opération entre dans le cadre de l’ensemble des dispositions prises par le CNOU pour lutter contre la Covid-19.
Selon les instructions données par le ministère de l’Enseignement Supérieur, les bus des étudiants ne doivent prendre que 40 étudiants dans le souci de respecter les mesures barrières. Notons également que la pulvérisation des bus se fait de manière permanente.

Maladie de Chikugunya : Un protocole de prise en charge thérapeutique est élaboré

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La délégation sanitaire du Ouaddaï a élaboré un protocole de prise en charge thérapeutique pour les traitements curatif et préventive chez les adultes, les femmes enceintes et chez les nouveau-nés ainsi que les enfants atteints par des cas suspects de la maladie à Chikugunya qui sévit depuis le juillet dans la ville d’Abéché chef-lieu de province du Ouaddaï.
Ce document dont NDJAMENA ACTU.COM a pris connaissance, ce lundi 14 septembre 2020, fait état du traitement de la maladie sous ses formes classique et simple, chez les malades adultes quand le patient à de fièvre, céphalée, arthralgies modérées sans complications. Ainsi, lorsque le traitement est symptomatique, le malade reçoit soit 60 milligrammes de paracétamol en 24 heures soit 3 grammes par jour sans dépasser les 4 grammes par jour. Le traitement peut être prescrit par voie oral du patient pendant 5 jours, puis il faut évaluer le malade.
Pour les formes avec arthralgies intenses qui ne cèdent pas au paracétamol en comprimé, il est conseillé de faire administré au patient Diclofénac Injectable avec paracétamol avec relais. En cas des formes invalidantes chez les femmes enceintes et les adultes, le traitement est de mettre le patient sous tramadol associée au paracétamol. « En cas de fièvre supérieure à 38°C, l’enquête diagnostique guide la décision thérapeutique et l’éventuelle prescription d’amoxicilline. Tous les AINS y compris l’aspirine et les topiques sont contre indiqué chez les femmes enceintes », précise le protocole de prise en charge pour les femmes enceintes. Chez le nouveau-né, il est recommandé faire une surveillance néonatale prolongée de sept jours est mise en place lorsque ma mère accouche dans un contexte évocateur et les éléments cliniques à surveiller chez le nouveau-né sa température corporelle, la qualité de la tête, la douleur, l’état cutané comme exanthème, œdème des extrémités et l’état d’hydratation.


Pour les formes classiques de l’enfant sont traitées symptomatiquement 60 milligrammes de paracétamol en 24 heures soit en voie oral comme le sirop ou injectable si la forme sévère selon l’état clinique du patient pendant 5 jours puis évaluer le patient. Il est conseillé à l’entourage d’éviter de couvrir l’enfant, d’aérer la pièce et de faire boire l’enfant le plus souvent possible. L’usage des AINS, des salicylés et des corticoïdes est formellement déconseillé.
La codéine est déconseillée pour les enfants avant 12 ans et réservée aux cas réfractaires au paracétamol. Toutefois, pour la prévention il est recommandé des moyens de protection physiques constitue à portée des vêtements long et de moustiquaires imprégnées et l’utilisation de répulsifs etc.


La situation épidémiologique à Chikugunya est de 18 788 cas enregistrés dans les différentes structures sanitaires de la ville d’Abéché avec zéro décès officiellement notifié par la délégation sanitaire de la province du Ouaddaï en date du 12 septembre 2020. S’agissant le nombre de cas par sexe, les femmes arrivent en tête avec 10 407 cas et 8381 hommes. Et en tranche d’âge le moins de 5 ans représente 2 523 cas, de 5 à 14 ans 4 700 cas et la majorité de cas est constituée des personnes adultes qui sont en nombre 6727 cas.

Société : L’APCD vole au secours de la population de Walia

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Dans le cadre de ses activités humanitaires, l’Association la Plume pour la Culture et le Développement (APCD) a en collaboration avec la mairie du 9ème arrondissement et l’Association de Mototaxi, a aménagé ce lundi, 14 septembre 2020, la route reliant le quartier Walia foret, dont le tronçon a été coupé par les eaux de pluie.

Cette action citoyenne a vu la présence du maire de la commune du 9ème arrondissement, la représentante du maire du 7ème arrondissement ainsi que la population sortie massivement.
Le président de mototaxi de Walia Foret, Ehba Ernest s’est réjoui de cette action salvatrice et humanitaire entreprise par l’APCD et demande à d’autres ONG humanitaires à faire la même action afin que les victimes d’inondations puissent sortir de leur misère.

Le secrétaire général de l’APCD M. Aboubakar Abdallah Hassan, a rappelé que son organisation a mené ce même genre des actions humanitaires dans la ville de N’Djamena. D’après lui, la première phase a été commencée par la distribution des vivres le 3 septembre dernier dans la commune du 7ème arrondissement municipale de la ville de N’Djamena.
Au total 300 kits de vivres alimentaires distribués aux 300 ménages sinistrés des inondations dans la commune du 7ème arrondissement. Le chargé de suivi de marchés de l’APCD, M. Abdel-Salam Moustapha, a annoncé que son organisation reste toujours à coté des personnes vulnérables. C’est pourquoi, précise-t-il, ce petit geste que son ONG a entrepris permettra à la population vulnérable de sortir sans avoir un problème pour aller chercher de quoi à leur famille. En outre, il a annoncé qu’ils ont mobilisé 20 voyages de remblais et 1000 sacs vides, et trois (3) grands tuyaux de drainage d’eau pour l’aménagement cette rue. Il appelle donc les autres associations, les personnes de bonne volonté à venir en aide de sinistrés d’inondations.

Le maire de la commune du 9ème arrondissement a remercié infiniment l’APCD avant d’inviter d’autres associations d’emboiter les pas. Car, selon lui, venir en aide à une personne en danger est une action louable, salvatrice et humanitaire.
MSK. Lawandji

ÉDUCATION : Kalzeubé visite le restaurant universitaire de la Faculté de Farcha

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A l’occasion de la semaine de la citoyenneté, le Secrétaire Générale de la Présidence, Kalzeubé Pahimi Deubet accompagné du ministre de l’Enseignement Supérieur et celui de l’Education Nationale ont balayé la cour de la Faculté des Sciences Exactes et Appliquées de Farcha et visité le site de restauration géré par le Centre National des Œuvres Universitaires.
Après le coup de balai, le SGP a tenu à visiter le restaurant universitaire. Le Directeur General du CNOU, Hissein Mahamaï Khamis accompagné du Directeur des Ressources Humaines, Financières et du Matériels de la même institution a conduit la délégation aux airs de restauration pour une visite guidée.

Les officiels ont constaté de visu les travaux de réfection, d’aménagement du site de restauration de la faculté de Farcha. « Vous avez réussi à rendre propre ce restaurant. C’est bien emménagé » se réjouit Le SGP.
Depuis l’avènement de la Covid-19, le Centre National des Œuvres (CNOU) a mis en place des démarches pour assainir ses sites de restauration et le moyen de transport des étudiants.

Économie : inauguration d’un marché de bétail à Mao et Gaba

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Les marchés a bétail de Mao dans le Kanem et de Gaba dans le Bar El Gazal ont été inaugurés, respectivement jeudi, 10 et vendredi, 11 Septembre 2020. La cérémonie de remise de clés de ces marchés de bétail a été présidée par le ministre de L’Elevage et des Productions Animales Ahmat Mahamat Bachir en présence des autorités provinciales.


Il faut préciser que ces marchés moderne de bétail sont réalisés dans le cadre du Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahell PRAPS répondant aux normes socio-environnementale de la banque mondiale, principal bailleurs du projet. Dotés des infrastructures de qualité, les deux marchés disposent respectivement d’un point d’eau,d’ un bâtiment de 5 bureau, 3 parcs ,4 hangars, une pharmacie vétérinaires, 4 latrines, le tout logé dans une surface de 3 hectares.
Les infrastructures modernes, dont les clés ont été remises aux autorités provinciales par le M. Ahmat Mahamat Bachir traduisent en acte l’ambition du Maréchal du Tchad qui fait de L’Elevage un pilier du développement. Le Ministre de L’Elevage a pour sa part, exhorté la population locale ainsi qu’aux autorités à la gestion rationnelle, tout en impliquant les éleveurs, bouchers, et autres organisations professionnelles de L’Elevage.
Le marché à bétail de Mao et de Gaba sont les deux infrastructures pastorales parmi les 12 autres construites par le projet PRAPS sur financement de la Banque Mondiale dans la zone d’intervention.

société civile : Ardjoun Danki Abdel-Aziz élue présidente de l’AJEG

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L’Association des Jeunes du Guéra (AJEG), sera dirigée pour la première fois par une femme. Il s’agit de Mme Ardjoun Danki Abdel-Aziz, élue présidente à la tête d’un bureau exécutif de 15 membres, ce samedi 12 septembre 2020, à l’issue de l’Assemblée générale extraordinaire tenue à la Maison de la femme.
Placée sous le thème »La jeunesse au service du Guéra », l’assemblée générale a permis aux membres présents de porter leur choix et accorder leur confiance à la jeune dame, Ardjoun Danki Abdel-Aziz, qui a saisi l’occasion pour appeler tous les jeunes du Guéra à différents niveaux de venir urgemment en appuie à l’association pour contribuer au développement de la province.
Le soutien de tous est sollicité, insiste-t-elle soulignant que, sans l’unité, l’amour la fraternité entre les jeunes, aucun développement durable ne peut se réaliser.

bureau excutif de.l’AJEG


Ardjoun Danki Abdel-Aziz est titulaire d’un Master en Comptabilité- Controle et Audit. Elle travaille dans un cabinet d’études et Conseils, et Elle occupe le poste Cheffe Comptable et Assistante du Directeur général au Cabinet Diligence conseils. Elle assure également, le poste d’Assistante en consultance comptable et Audit auprès de l’expert-comptable. Dame Ardjoun a effectué plusieurs missions dans les domaines, comptabilité, d’audit et des banques.
Une dame de fer, engagée, battante et déterminée au service du développement.

M.S.K. Lawandji

Football U17 : L’équipe Attayamous du Guéra sacrée championne

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L’équipe Attayamous de la province du Guéra a battu, ce vendredi 11 septembre 2020, à Abéché, en finale du championnat national des moins de 17 (U17), l’équipe de la commune du 10è arrondissement de N’Djaména, au score d’un but à zéro.


Attayamous est ainsi sacrée championne de la compétition des U17 national. En plus de la coupe le représentant du Guéra a raflé tous le prix meilleur entraineur qui reçoit une enveloppe de 150 000 francs, leur attaquant Souleyman a fini meilleur buteur avec 9 réalisations, le gardien de but est élu meilleur gardien chacun d’eux a reçu une somme de 100 000 de francs Cfa. Le prix de meilleur joueur revient au milieu de terrain de l’équipe de la commune du 10ème arrondissement de la ville de N’Djaména et Racing Clubs Adams du Bongor reçoit le titre de l’équipe Fair-Play.


En remettant officiellement le trophée, le gouverneur de la province du Ouaddaï, général Brahim Seïd se félicité de l’enthousiasment qui prévalu tout le long de la compétition qui a permis à ses jeunes de montrer leurs talents. Il aimerait que ces genres du tournoi se déroule dans sa localité pour permettre de développer le football.


Pour l’entraineur de l’Attayamous du Guéra la consécration de son équipe est le fruit d’un travail qui est mis sur place depuis plusieurs années dans son centre et la compétition les permis d’évaluer les technique set tac-tic de ses joueurs.